Synthèse
1 - Dent dévitalisée : dent utile ou dent toxique ?
C’est là tout le problème et tout le paradoxe. En effet, la dent dévitalisée même traitée de la meilleure façon possible, ressemble dans sa structure au niveau microscopique à une éponge avec des milliers de canaux, plus ou moins imprégnée de bactéries. Une éponge qui libèrent inévitablement plus ou moins de toxines et de bactéries dans le sang et que les organismes supportent plus ou moins bien.
D’un point de vue philosophique ce sujet nous interpelle aussi. En effet, la dent dévitalisée est le seul organe mort (c'est-à-dire qui était auparavant vivant, contrairement aux prothèses) que la médecine moderne a accepté de conserver dans l’organisme. Et cela depuis un peu plus d’un siècle, car elle permet bien souvent de conserver des dents cariées (en enlevant le nerf et les vaisseaux sanguins), que le dentiste aurait du sinon extraire.
Mais en fait ce ne sont pas des dents, ce sont des dents dévitalisées et c’est une différence qui pourrait se révéler déterminante pour la santé comme vous allez le constater. Une différence qui est aussi peut-être une transgression à des lois de la vie, dans la mesure où il s’agit de conserver de la mort dans le vivant. Lorsqu’on a voulu donner des aliments carnés à des herbivores, des vaches en l’occurrence, cela a conduit à de graves problèmes de santé transmis ensuite aux humains qui consommaient cette viande. C’est toute l’histoire de la vache folle. Là aussi des éleveurs avaient transgressé à l’évidence, une loi de la vie et cela depuis de nombreuses années sans que personne dans le monde agricole ne s’en émeuve vraiment jusqu’à ce que des drames de santé apparaissent. Ce sont des scientifiques et des médecins qui après coup ont mis en évidence la folie d’une telle transgression. Il aurait fallu attendre longtemps pour que les professionnels, ici des éleveurs de vaches, acceptent de reconnaître leur responsabilité. De même on peut se demander si les dentistes, « les éleveurs de dents dévitalisées », n’auraient pas aussi transgressé une autre loi de la vie en conservant dans l’organisme des dents mortes ? C’est une question philosophique qui méritait de se poser avec le regard du scientifique, d’autant plus qu’il concerne une grande partie de la population des pays civilisés et surtout en France qui serait selon certaines sources, le pays européen où il y a le plus de dents dévitalisées par habitant.
On est toujours content quand après avoir vu son dentiste parce qu’on avait très mal à une dent, ce dernier nous conserve notre dent en la dévitalisant et évite ainsi de nous l’extraire comme l’auraient fait les dentistes au début du 20ième siècle.C’est ce qu’on pourrait appeler un progrès de civilisation. C’est en tout cas ce que pensent les dentistes qui grâce à cette technique pensent avoir moins l’image d’arracheurs de dents et plus l’image de micro-chirurgiens conservateurs de dents.
De nombreuses études scientifiques démontrent aussi indéniablement le caractère toxique de certaines dents dévitalisées et leurs conséquences néfastes sur l’organisme même si elles ne font pas souffrir en bouche et ne présentent en apparence aucune infection, ni même sur une radio.
On comprend donc que ce sujet est en lui-même un paradoxe et que le traiter correctement sera subtil. On peut très bien aussi imaginer que certaines dents dévitalisées puissent ne pas être toxiques. Encore faudrait-il en apporter la preuve, ce qui n’a jamais été réalisé à notre connaissance et nous semble difficile voire impossible à réaliser. Par contre, le contraire nous a été souvent prouvé puisque si on guérit de choses et d’autres après les avoir extraites, c’est bien qu’elles étaient toxiques.
Il n’existe par contre pas à notre connaissance, de scientifiques qui affirment que les dents bien dévitalisées ne font pas prendre de risque à la santé, si ce n’est les dentistes qui fabriquent eux même les dents dévitalisées. Mais les dentistes sont-ils des scientifiques ? En tout cas, ils semblent le penser puisque ceux du Conseil de l’Ordre ont interdit d’exercer plusieurs fois un de leurs confrères et définitivement en 2004, celui là même qui nous a fourni les vidéos que nous vous présentons sur le site. Le prétexte invoqué par le Conseil de l’Ordre était toujours que le fait de proposer d’enlever des dents dévitalisées n’était pas en accord avec les données scientifiques. La première fois il s’agissait d’un an d’interdiction d’exercer en l’année 2000.
C’était une première en France et probablement en Europe. Et cela sans même qu’aucune institution scientifique ne s’exprime jamais en ce sens. Seuls quelques vieux dentistes académiciens ayant dévitalisé des dents toute leur vie ont été utilisés pour donner leur avis sur le sujet, et même pas la première fois. Une condamnation qui ressemble plutôt à un abus de pouvoir dont le but était d’éliminer un confrère gênant qui remettait en question une de leurs pratiques quotidiennes qui pourrait bien être lourde de conséquence sur la santé des patients. Un abus de pouvoir d’autant plus grave qu’en refusant du même coup d’informer la profession sur ce sujet épineux, comme serait le rôle du Conseil de l’Ordre, cela pourrait bien revenir par là même à détourner des centaines de milliers de personnes malades d’un espoir thérapeutique bien réel, grâce à l’élimination de leurs dents dévitalisées. Car peut-être que de nombreux patients et de nombreux dentistes préfèreraient enlever ces dents dévitalisées s’ils savaient ce que ces dents sont susceptibles de faire dans les organismes. On pourrait alors qualifier un jour cet abus de pouvoir, non seulement d’atteinte au libre choix thérapeutique mais aussi de mise en danger de la santé publique. Mais l’avenir nous le dira.
Il nous apparaît toutefois concevable que dans de nombreux cas et même lorsqu’on est correctement informé, on puisse vouloir conserver ses dents dévitalisées, surtout si on n’est pas malade, et si l’idée du dentier est insupportable. Le traumatisme psychologique du à une dent en moins pourrait être parfois pire que la toxicité biochimique de la dent dévitalisée. Mais il apparaît aussi concevable à la vue de documents scientifiques que chaque patient a le droit de vouloir posséder le corps le plus sain possible en se débarrassant de ses dents dévitalisées.
Cela s’appelle le libre choix thérapeutique.
Ce libre choix pourra d’autant mieux s’exercer lorsque d’une part vous serez correctement informé et c’est bien le but de ce site, et d’autre part lorsque vous trouverez aussi des dentistes pour vous enlever vos dents dévitalisées. Il faudra alors que le Conseil de l’Ordre cesse de les interdire d’exercer car ils sont encore très rares en France.
Le caractère thérapeutique de l’élimination des dents dévitalisées est confirmé en pratique par les témoignages de dentistes et de médecins qui se sont intéressé au sujet dans le monde et sont de plus en plus nombreux notamment en Suisse allemande, en Allemagne et aux Etats-Unis. Ils affirment avoir traité ainsi des dizaines de milliers de patients. Certains médecins estiment même que l’élimination des dents dévitalisées est une des clefs essentielles et primordiale pour la guérison de nombreuses maladies, certaines graves mais aussi certaines assez anodines en apparence comme le mal de dos.
Certains médecins ont fait de l’extraction des dents dévitalisées, en collaboration avec des dentistes, l’élément le plus important de leurs traitements depuis de nombreuses années afin de guérir de multiples pathologies dans tous les domaines de la médecine. Un cancérologue allemand, obtenait environ 37% de guérisons supplémentaires que ses collègues et avait fait de l’extraction des dents dévitalisées, un des éléments incontournables de ses traitements du cancer. Les extractions des dents dévitalisées semblent aussi avoir permis selon des médecins, d’éviter bien souvent diverses interventions chirurgicales.
Certains médecins estiment même que toutes les dents dévitalisées sont trop toxiques pour être conservées et particulièrement dès qu’une maladie un peu trop grave apparaît. Si cette position est scientifiquement défendable, nous pouvons aussi comprendre qu’elle puisse paraître incompréhensible et extrémiste pour la majorité des patients et des dentistes qui savent bien les services que peuvent leur apporter cette technique. En plus le professeur Boyd Haley n’est pas arrivé à démontrer que toutes les dents dévitalisées étaient toxiques. Il semblerait logique aussi selon certaines études qu’avec le temps, les dents dévitalisées deviennent de plus en plus toxiques et donc que des dents dévitalisées pas ou peu toxiques à un certain moment puissent le devenir ultérieurement. Néanmoins, on peut donc imaginer qu’en enlevant toutes les dents dévitalisées, on pourrait aussi en enlever certaines qui ne seraient pas trop toxiques. C’est donc au patient de choisir ce qu’il veut faire car nous ne disposons pas actuellement de méthodes infaillibles pour affirmer l’absence de danger d’une dent dévitalisée.
C’est pourquoi ce site a été réalisé, dans un esprit d’objectivité scientifique pour vous permettre de mieux choisir en connaissance de cause car sinon vous avez peu de chance actuellement d’être correctement informé sur le sujet.
S’il existe des publications scientifiques convaincantes pour le scientifique sur la toxicité des dents dévitalisées, pour le public, le vécu, ici exprimé sous forme de témoignages vidéo de patients nous a semblé plus précieux que tout, et encore plus que des écrits compliqués, pour vous aider à prendre conscience de la dimension toxique des dents dévitalisées. Des vidéos ont donc été introduites dans ce site.
Après enquête, nous observons que certains patients regrettent toutefois d’avoir fait cette démarche et après coup auraient préféré garder leurs dents dévitalisées. Ils semblent toutefois être une minorité mais ils existent indéniablement, c’est un fait. Certains ayant même été convaincus que c’était indiscutablement une mutilation peuvent parfois s’en rendre malade prouvant par là même que le mental est plus fort que tout et même que les dents dévitalisées.
Les médecins et les dentistes qui prônent l’extraction des dents dévitalisées sont aussi une minorité dans le monde médical. Ils restent assez discrets en général car cette pratique est très contrariante pour les confrères dentistes puisque la plupart dévitalisent souvent un peu facilement des dents, voire des dents parfaitement saines pour faire plus facilement des bridges. Il faut dire à leur décharge, que peu de dentistes sont conscients des conséquences de tels actes puisque les effets toxiques des dents dévitalisées ne sont pas enseignés actuellement en université ou bien sont largement sous évalués.
Les enseignants universitaires sont aussi des dentistes qui ont dévitalisé des dents durant de nombreuses années, ce qui ne favorise pas l’introduction de ces enseignements dans le milieu universitaire. Il est difficile, même lorsqu’on est universitaire, de reconnaître parfois qu’on a pu effectuer des actes qui pourraient d’une certaine façon mettre la santé de ses patients en danger alors qu’on appartient au corps médical qui est censé « d’abord ne pas nuire ». En plus, ce qu’on a réalisé a fait plaisir aux patients et leur a donc évité des extractions qui sont aussi une forme de mutilation.
Car c’est là tout le paradoxe. Les patients sont contents de conserver leurs dents dévitalisées plutôt que les extraire. Cela revient à dire que d’un point de vue biologique ils sont contents d’être empoisonnés, même s’ils n’en n’ont pas conscience, plutôt que d’être mutilés d’un point de vue anatomique par l’extraction d’une dent, ce qu’ils ne peuvent que constater facilement. Mais qu’est-ce qui est le plus grave pour la santé : l’empoisonnement biologique du aux bactéries et aux toxines des dents dévitalisées ou la mutilation anatomique due à l’extraction et le traumatisme psychologique qui peut en résulter ?
Scientifiquement parlant, rien actuellement ne nous permet d’affirmer ce qui est le plus grave, alors que la profession dentaire se permet elle d’affirmer qu’il vaut mieux une dent dévitalisée qu’une dent remplacée par une prothèse. On peut très bien considérer, comme le fait la profession dentaire, que l’empoisonnement biologique soit moins grave que la mutilation anatomique consécutive à la perte d’une dent. En apparence c’est une certitude. Mais on pourrait très bien considérer aussi le contraire, en regardant avec un microscope et en étudiant des analyses biochimiques, et en observant les guérisons après élimination des dents dévitalisées. Et cela d’autant plus qu’on possède un nombre important de dents dévitalisées. Ce n’est pas notre rôle en tant que scientifique d’apporter une réponse cette question. C’est à notre société dans sa globalité d’y répondre. Nous scientifiques, n’avons que pour mission d’attester de faits et rien d’autre.
Il nous semble que c’est donc à chacun correctement informé de décider, sachant toutefois que s’il existe des prothèses qui peuvent remplacer des dents extraites, il n’existe pas encore à notre connaissance de produits qui peuvent annihiler les toxines émises dans l’organisme par les dents dévitalisées, 24 heures sur 24 et 365 jours par an.
On comprend donc bien la complexité du sujet où c’est plus l’ignorance des conséquences, le souci de préserver les apparences et de faire plaisir aux patients, en oubliant de considérer la toxicité biologique, qui est plus que qui ce soit responsable de la situation, c'est-à-dire des millions de personnes qui possèdent des dents dévitalisées et qui ignorent totalement qu’elles comportent un aspect d’empoisonnement plus ou moins important. Si elles en étaient conscientes, elles pourraient par exemple décider de s’en débarrasser dans certaines situations où elles estiment que leur santé est en danger à cause de leurs dents dévitalisées. C’est d’ailleurs tout l’objectif de ce site que d’améliorer la conscience sur le sujet
2 - Les méthodes de remplacement des dents.
Lorsqu’on enlève des dents dévitalisées, la façon la moins risquée et la plus thérapeutique pour la santé de les remplacer semble être sans conteste, la prothèse amovible, le dentier.
Tout le monde est d’accord pour dire qu’avoir en bouche une prothèse amovible n’est pas ce qu’il y a de plus extraordinaire et qu’il vaut mieux avoir ses vraies dents. C’est d’ailleurs ce qui a contribué à faire tout le succès de la dent dévitalisée et ce qui a toujours fait avorter toutes les tentatives visant à informer de sa toxicité. Certaines personnes semblent à l’évidence mécontentes de leur prothèse amovible tandis que d’autres semblent pleinement satisfaites. Peut-être cela vient–il de la qualité du travail du dentiste et du prothésiste ainsi que des matériaux utilisés ? La prothèse amovible permet en tout cas de restaurer les fonctions masticatoire, esthétique et phonétique très correctement lorsque les patients sont satisfaits. Le seul vrai problème semble-t-il, serait que si tout le monde faisait enlever rapidement toutes ses dents dévitalisées, nous manquerions alors cruellement de dentistes et de prothésistes pour faire des dentiers tellement ils seraient débordés de travail.
Néanmoins on peut aussi concevoir que la simple idée du dentier et l’image associée à la vieillesse que le public en a, fait que la plupart des personnes veuillent conserver leurs dents dévitalisées pour l’éviter. Ce choix nous apparaît lui aussi respectable car certaines personnes extrêmement soucieuses des apparences pourraient être gravement perturbées psychologiquement par l’idée même de posséder un dentier.
Mais attention car ce site et notamment sa vidéo de témoignages, pourrait créer ici même une telle prise de conscience sur la toxicité des dents dévitalisées que les inconvénients du dentier pourraient alors paraître négligeables à côté de la conservation des dents dévitalisées, surtout en cas d’affection chronique ou grave et cela même si on est encore jeune.
3 - Les autres pratiques sujettes à polémique en dentisterie.
Pour remplacer les dents absentes, il existe aussi maintenant les bridges sur dent vivante et parfois et les implants bien sûr si vous avez un peu d’argent.
Il parait que les bridges ont des petits inconvénients en ne s’appuyant pas sur la zone édentée et ils nécessitent souvent de tailler les dents indemnes en leur faisant ainsi prendre des risques.
Les implants sont aussi un peu controversés par certains médecins qui s’intéressent aux rapports entre la santé et les dents et qui sont assez réputés pour guérir des affections sur lesquelles leurs confrères avaient échoué. Toutefois et contrairement aux dents dévitalisées, la littérature scientifique ne possède pas assez d’éléments pour pouvoir affirmer le caractère toxique des implants. Nous ne pouvons donc pas prendre position sur les implants en tant que scientifiques comme nous pouvons par contre nous positionner sur le sujet des dents dévitalisées.
Certains dentistes pensent aussi que les amalgames dentaires au mercure posent problème, malgré ce qu’en dit aussi le Conseil de l’Ordre en France. Pas uniquement par le mercure qui s’en dégage mais aussi et surtout pas les petites piles produites par effet galvanique. Là aussi après enquête, le problème semble être considéré différemment en fonctions des pays. Certains pays semblent considérer que les amalgames au mercure constituent un danger, alors que d’autres tels la France estiment qu’il n’y a pas vraiment de problème. Le problème semble toutefois moins grave que celui des dents dévitalisées, hormis dans quelques cas particuliers, il faut bien l’avouer, où l’effet de pile semble très important. On parle pourtant de plus en plus de ce sujet dans les milieux français de santé alternative et on oublie le problème des dents dévitalisées qui semble généralement bien plus grave et pour lequel la littérature scientifique est bien plus abondante et inquiétante.
Pour en finir avec les dents et la santé, les quelques médecins qui s’y intéressent nous font part aussi d’observations d’une problématique liée aux dents de sagesse. Elles sont souvent trop loin dans les bouches devenues trop petites et parfois pire elles sont incluses. Il faut alors parait-il selon eux les enlever très souvent. Nous ne disposons toutefois pas de publications scientifiques sur ce sujet mais juste de témoignages.
Le tartre est aussi un sujet qui commence bien à intéresser la profession dentaire comme cause de maladies à distance. Il existe de multiples études scientifiques qui le confirment, études réalisées par la profession dentaire elle-même. Il faut dire que le tartre n’entraîne aucune culpabilité chez les dentistes contrairement aux dents dévitalisées et donc qu’il n’existe pas de frein à ce qu’ils s’y intéressent.
Beaucoup de matériaux utilisés en bouche sont controversés par certains dentistes sans qu’il y ait toutefois à notre connaissance d’études scientifiques. Il s’agit de tout ce qui est métallique et sujet à subir un effet galvanique notamment mais plus particulièrement des visses mises dans les racines appelées screw-posts dont la pointe pourrait produire un effet comparable à celui que les physiciens connaissent sous la dénomination d’effet de pointe. Les prothèses amovibles (les dentiers) possèdent aussi souvent une partie métallique en acier, qui ne semble pas trop problématique néanmoins car ce sont des aciers inoxydables bien sûr. Avant, seul l’or était utilisé mais c’est beaucoup plus cher. De nouveaux matériaux plastiques semblent cependant pouvoir constituer des solutions alternatives à ce petit problème galvanique et éviter les inconvénients esthétiques parfois de certains crochets métalliques.
Il y a encore bien des sujets qui font polémique chez les dentistes (pâtes endocanalaires aux anti-inflammatoire, javel dans les racines, arsenic sur la pulpe, pulpotomies des enfants qui revient à leur dévitaliser les dents aussi, mélanges de métaux induisant des courants galvaniques, couverture antibiotique systématique, pâtes formolées utilisées pour les alvéolites etc…) mais ils semblent moindres par rapport à ce qui a été énoncé auparavant et nous n’avons pas trouvé non plus de publications scientifiques sur ces sujets c’est pourquoi nous en resterons là en ne faisant que les citer. Nous resterons donc concentrés sur le sujet qui lui possède vraiment de multiples preuves scientifiques de son caractère polémique au niveau mondial, les dents dévitalisées.
4 - Les vidéos , plus précisément.
- La vidéo de la conférence de Boyd Haley
Elle dure quelques minutes et reprend une petite partie d’une conférence lors d’un congrès dentaire en France, à Cannes, en 1998, d’un scientifique, le Prof. Boyd Haley (Dr es Sciences, Directeur de département universitaire américain de biochimie).
Le Professeur Boyd Haley s’est le plus penché sur les dents dévitalisées (Root Canal teeth en anglais) avec des techniques scientifiques modernes. Il n’y a qu’une petite partie de la conférence qui a été mise, car la conférence est d’une part en anglais et donc peu de français pourraient la comprendre et d’autre part elle est difficilement compréhensible pour quelqu’un d’autre qu’un biochimiste. Toutefois voici ce que le petit passage explique sur les dents dévitalisées. Tout d’abord il explique que les examens cliniques (l’examen réalisé lors de la consultation) et notamment radiologiques ne permettent pas de déterminer le degré de toxicité de la dent dévitalisée.
Or, selon la dentisterie actuelle, ce sont les seuls critères dont disposent les dentistes et donc ce sont aussi les seuls critères qui leur permettent de dire si une dent dévitalisée n’est selon eux pas toxique. Le Professeur Boyd Haley contredit donc tout de suite cette croyance présente chez les dentistes. Cela signifie que des dents dévitalisées que des dentistes peuvent penser saines selon leurs critères peuvent en fait être tout à fait toxiques. Ensuite le Professeur Boyd Haley parle de la méthode d’électrophorèse pour la mise en évidence de la toxicité des dents dévitalisée mises au préalable en solution pour recueillir leurs toxines. Il explique ensuite que les toxines issues des dents dévitalisées peuvent détruire des protéines du cerveau. A la fin de sa conférence, qui n’est pas mise sur la vidéo, il explique toutefois que dans certains cas, il n’est pas arrivé à démontrer de toxicité à certaines dents dévitalisées, ce qui ne veut pas dire d’ailleurs non plus qu’elle ne le sont pas.
Voici donc pour l’essentiel de sa conférence qui se résume à dire qu’il existe des dents dévitalisées en apparence sans problème pour la dentisterie qui peuvent en fait détruire le cerveau.
- Les vidéos des témoignages.
Elles traitent d’une nouvelle façon de concevoir la dentisterie mais principalement de l’importance de l’extraction des dents dévitalisées pour retrouver la santé lorsqu’on est malade. Ces vidéos ne présentent certes qu’un des aspects de la question, celui des patients contents d’avoir fait enlever leurs dents dévitalisées. Pour un autre des aspects, il vous suffit de demander autour de vous si les gens sont heureux de conserver leurs dents dévitalisées plutôt que de posséder un dentier, car la majorité de la population française possède au moins une dent dévitalisée et en est visiblement contente.
Ces vidéos recueillent les témoignages d’une centaine de patients d’un dentiste qui semble faire un peu partie des extrémistes de la profession qui pensent que toutes les dents dévitalisées devraient être enlevées. Scientifiquement parlant, on ne peut dire si cette attitude est juste ou fausse d’ailleurs. Peut être donc que « l’extrémiste » n’a pas tort, mais peut-être a-t-il tort, qui sait ? La réponse est plus du ressort de notre société que de notre science et les données acquises de la science nous semblent un bien mauvais argument pour l’avoir interdit d’exercer. C ’est pourtant ce qui s’est passé en 2004.
C’est d’ailleurs lui qui nous a fourni des témoignages montrant des patients qui ont guéri de choses et d’autres parfois très graves en enlevant principalement des dents dévitalisées tout simplement. Cela ne peut qu’interpeller. On observera parfois sur la vidéo d’autres traitements dont certains assez subtils ont été effectués en bouche. Des traitements que n’effectuent encore qu’une minorité de dentistes qui s’intéressent à l’énergétique. Des traitements qu’on pourrait dire faire partie d’une dentisterie qu’on pourrait qualifier de dentisterie énergétique et que vous trouverez sûrement intéressants si vous vous intéressez aux médecines alternatives.
Cet aspect présent sur la vidéo, qu’on peut trouver extrême de proposer d’enlever toutes les dents dévitalisées parfois assez rapidement semble-t-il, est à mettre en parallèle avec un autre aspect que l’on peut trouver aussi extrême et plus que discutable, celui de dévitaliser des dents saines juste pour faire des bridges. Une pratique qui a l’air assez courante dans la profession dentaire et que personne ne condamne paradoxalement au Conseil de l’Ordre. Qui sont donc les vrais extrémistes ?
Dans la vidéo des témoignages, vous verrez que l’esprit d’authenticité ressort nettement. Les images ont volontairement rétrécies pour ne pas qu’on puisse reconnaître les personnes qui témoignent. Mais le son a été conservé de qualité. Une version très nette numérisée et où les patients se présentent, pourra être montrée aux journalistes qui s’intéresseront au sujet. Par conséquent écoutez bien tout ce qui est dit et vous en retirerez très certainement de grands enseignements pour votre santé. Inutile de tout voir en une fois, c’est trop long. Regardez en un petit peu à la fois et laissez vous le temps de réfléchir sur ce qui est dit.
Après avoir regardé cette vidéo, vous demanderez probablement à votre dentiste ce qu’il pense des dents dévitalisées. Il vous répondra généralement alors, soit qu’il ne croit pas que cela puisse rendre malade et soit que ses traitements endodontiques (de dévitalisation) à lui sont tellement bien faits qu’ils ne rendent pas malade.
Personne ne doute un seul instant de sa sincérité d’ailleurs car les informations qui montrent le danger pour la santé des dents dévitalisées ne sont pas enseignées en faculté et rares sont ceux qui remettent en question ce qu’on leur a appris. Mais ce n’est pas parce qu’il est sincère qu’il a raison.
Adoptez alors vous aussi la démarche du scientifique, c'est-à-dire une démarche qui se base sur des faits et des preuves. Demandez lui par exemple alors de vous présenter deux ou trois patients qui ont guéri d’une maladie chronique juste après qu’il ait bien redévitalisé des dents qui étaient mal dévitalisées auparavant. S’il ne peut le faire cela tendrait à prouver que de dévitaliser tel qu’il le fait, ne permet pas de guérir grand-chose. Et s’il vous présente un seul patient qui aurait guéri durablement d’une maladie, éloignée de la bouche, sans extraction et par un ou des retraitements endodontiques, s’il vous plait, donnez nous ses coordonnées pour vérification.
Les dentistes spécialistes d’endodontie (de la dévitalisation dentaire) disent eux mêmes qu’en redévitalisant le plus parfaitement possible les dents, il n’observent pas de guérison de maladies à distance. Ils observent certes des améliorations locales si les dents présentaient un abcès, une douleur ou quelque chose dans le même genre et des améliorations régionales de certaines petites affections dans la zone de la tête et du cou mais cela s’arrête là.
Dire donc comme l’affirme le Conseil de l’Ordre et la plupart des dentistes même universitaires, que ça ne sert à rien d’enlever les dents dévitalisées, et que c’est même mutilant, c’est facile mais le prouver c’est autre chose.
Cette vidéo par contre, présente une centaine de faits probants qui démontrent la puissance thérapeutique de l’élimination des dents dévitalisées sur des pathologies souvent graves et à distance de la bouche. Et si cette vidéo est livrée au grand public aujourd’hui, c’est bien parce que les professionnels généralement et pire, certaines institutions qui sont responsables en France de la protection de la santé publique, dans le domaine dentaire notamment, ne s’y sont pas intéressés jusqu’à présent. Vous y verrez des pathologies qui apparemment n’avaient rien à voir avec les dents, tels même des problèmes de pieds, des hémorroïdes, des problèmes de prostate, d’impuissance sexuelle ou de poids. On peut difficilement être plus éloigné des dents.
La vidéo du témoignage de l’assistante d’un médecin des Alpes-Maritimes.
Cette vidéo témoigne clairement que les résultats étonnants obtenus par ce praticien depuis 40 ans, sont principalement le résultat du fait qu’il faisait enlever les dents dévitalisées de ses patients.
5 - La toxicité des dents dévitalisées.
La littérature scientifique sur les dents dévitalisées ne se limite pas uniquement à la toxicité sur le cerveau bien que les études du prof. Boyd Halley aient analysé les effets sur les enzymes du cerveau. En fait, il n’y a pas un seul domaine de la médecine qui ne soit pas concerné par la toxicité des dents dévitalisées.
Le tout est de quantifier le degré de toxicité des dents dévitalisées, car en fait il existe bien des choses toxiques que l’on peut supporter sans trop de problème. Tout est donc relatif. Et c’est là tout l’intérêt des témoignages de patients dans la vidéo qui montrent toute la puissance thérapeutique de l’élimination des dents dévitalisées. Des témoignages confirmés par des observations faites par notre collège scientifique auprès de patients équivalents.
Des médecins ou des dentistes qui ont visionné cette vidéo ont même été surpris par les témoignages de guérisons qui montrent des résultats bien plus percutants que ce qu’ils constatent généralement en thérapeutique habituelle. On est donc en droit d’en déduire une toxicité des dents dévitalisées par conséquent qui est loin d’être négligeable et qui mériterait d’être systématiquement pris en compte par la médecine, en tout cas dans les affections graves. Tous les services hospitaliers, qui voient des affections graves, devraient être en relation étroite avec un service dentaire hospitalier pour éliminer les dents dévitalisées. Le bénéfice sur la santé des patients permettrait sans aucun doute de faciliter les guérisons et d’éviter les récidives.
Le petit passage vidéo de conférence du professeur Boyd Haley qui explique qu’on ne peut jamais être sûr qu’une dent dévitalisée ne soit pas toxique, justifie donc à lui seul le principe de précaution, et le libre choix thérapeutique sur le sujet, à savoir qu’on puisse ne pas vouloir prendre le risque de posséder dans l’organisme une dent qui peut détruire le cerveau, c'est-à-dire une dent dévitalisée.
Cela semble justifier donc qu’il est éthique pour un dentiste de proposer à un patient l’élimination de toutes ses dents dévitalisées car on ne pourra jamais être sûr qu’une d’elles ne lui détruit pas la santé. On voit bien que cette attitude possède donc un cautionnement scientifique et on pourrait donc même dire que lorsqu’un dentiste dévitalise une dent sans informer de ce risque cela revient à faire prendre un risque à son patient. Mais lorsqu’on ne sait pas, on ne peut être condamnable.
Face à une dent très cariée qui devrait être dévitalisée, il nous semble donc que le dentiste devrait proposer deux choix : l’extraction de la dent ou la dévitalisation de la dent. Ce devrait être au patient de choisir, quitte à ce qu’il choisisse d’autoriser le dentiste à choisir pour lui. Mais là encore ce serait son choix. Ne pas proposer ce choix au patient c'est-à-dire soit d’enlever la dent soit de la dévitaliser, revient donc à refuser au patient le droit de choisir. Cela revient aussi à refuser de considérer que la dent dévitalisée présente un caractère toxique que le patient a le droit de vouloir éviter en demandant au dentiste l’extraction de sa dent.
Le problème est que les patients et les dentistes aussi ignorent que la dent dévitalisée présente un caractère toxique très important et les universitaires ainsi que le conseil de l’ordre ne semblent pas vouloir en entendre parler non plus car ils sont composés de dentistes qui ont dévitalisé des dents toute leur vie. Le Conseil de l’Ordre français a pourtant eu en sa possession, suffisamment de documents pour le comprendre. Il était donc essentiel qu’un collège de scientifique indépendant du milieu dentaire se penche sur le sujet.
Nous savons bien aussi qu’il existe de nombreuses personnes qui possèdent des dents dévitalisées et qui ne sont pas malades, tout comme il existe aussi de nombreuses personnes qui fument et qui boivent de l’alcool et qui ne sont pas malades. Néanmoins si elles ne fumaient pas et ne buvaient pas, elles seraient encore plus en forme. Et bien, pour les dents dévitalisées cela pourrait être un peu pareil et le problème n’est peut-être pas moins grave que celui des erreurs alimentaires, de l’alcool, du tabac et de la pollution. Pour certains médecins, il serait même généralement plus grave que tout cela et même bien souvent une des causes essentielle dans la genèse de la plupart des maladies. Ces médecins estiment que l’élimination des dents dévitalisées est un élément essentiel dans la démarche thérapeutique actuelle face à des pathologies graves.
Etonnant non ! Si cela se révélait exact, cela pourrait changer beaucoup de choses dans l’idée que l’on se fait de la médecine. Les dentistes pourraient alors devenir des partenaires privilégiés et incontournables de nombres de traitements médicaux notamment en France qui est le pays européen qui selon certaines sources possède la population qui serait celle qui possède le plus de dents dévitalisées par habitant. Cela pourrait d’ailleurs bien expliquer pourquoi les français prennent environ trois fois plus de médicaments que les autres européens. On manquerait alors cruellement de dentistes. Des dentistes qui accepteraient bien sûr de modifier la façon actuelle de considérer leur exercice, notamment vis-à-vis des dents dévitalisées.
Tout ce qui est écrit sur ce site n’est pas juste le fruit de la pensée d’un individu quelconque. Ce qui est écrit sur ce site est en accord avec la pensée de multiples scientifiques, médecins et dentistes du monde entier mais plus précisément en France, d’un collectif de scientifiques de médecins et de dentistes qui pourra prouver son existence à tout journaliste sérieux qui garantira leur anonymat.
Il y a notamment :
Un biologiste, Dr es Sciences Directeur Honoraire de Recherche au CNRS,
un Dr es Science Maître de conférence honoraire à la faculté de médecine de Nice,
un scientifique, Expert en Environnement auprès d’un programme de préservation de l’environnement financé par l’O.N.U.,
un Dr es Sciences, Maître de Conférences à l’Université de Toulon.
Ainsi que d’autres scientifiques (un chercheur à l’Inserm, un autre au CNRS)
et plusieurs médecins et dentistes français dont un est un ancien spécialiste et enseignant d’endodontie, c'est-à-dire la science des dents dévitalisées.
Certains scientifiques, médecins et dentistes, surtout ceux encore en activité, désirent encore rester anonymes car il n’existe pas toujours encore, même dans le milieu scientifique, et pire dans le milieu médico dentaire, suffisamment de liberté d’expression sur certains sujets qui remettent trop de choses en question, pour qu’ils soient garantis de n’avoir pas de problème dans leur exercice professionnel, voire leur vie privée. Un médecin de Grasse qui devait participer à un symposium intitulé « La toxicité relative des dents dévitalisées » a été convoqué par son Conseil de l’Ordre informé par celui des dentistes, pour y subir des menaces d’interdiction d’exercer et a du annuler sa participation. Un dentiste hospitalier, enseignant à l’Université de Nice, a du lui aussi refuser d’y participer pour des raisons qui sont du même ordre. Quand à l’organisateur du congrès, un dentiste, le Dr Darmon, il a comme par hasard été interdit d’exercer à vie un peu avant le congrès. Le congrès a du donc être annulé en fin de compte. Tout cela n’est donc pas qu’une vue de l’esprit.