Les chroniques du Dr Darmon avec l’Ordre des dentistes

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Les chroniques du Dr Darmon avec l’Ordre des dentistes. Le 21/01/2012 pourrait être une date cruciale pour la santé publique.

Texte un peu long certes mais peut-être essentiel pour la santé publique.

Introduction : J’ai demandé il y a déjà six mois au Conseil de l’Ordre des dentistes à pouvoir exercer à nouveau ma profession de dentiste. C’est ainsi que je dois être rejugé après une audience qui aura lieu à Marseille le 21 janvier 2012.

J’ai l’intuition que ce qui se passera à Marseille ce 21 janvier 2012 pourrait être crucial pour la santé publique de notre pays et ceux qui voudraient avoir la bonne idée de médiatiser cette histoire pour diffuser la vérité qu’elle recèle œuvreront ainsi pour la santé publique. Une bonne opportunité pour chacun de se faire du bon karma pour ceux qui y croient. Le président du tribunal est une juge non dentiste, ce qui est assez nouveau dans les procédures ordinales et me donne par conséquent toutes les chances d’être autorisé à exercer à nouveau. Elle sera toutefois assistée par un collège de dentistes dont certains ont déjà été mes précédents condamnateurs. Actuellement s’effectue un échange de courriers. Je vous fournis ici mon dernier courrier que j’ai toutefois un peu étoffé pour vous. Il pourrait intéresser plus d’un journaliste en recherche d’histoire de complot, comme vous allez le voir.

le 7 décembre 2011

Réponse au dernier courrier du Dr Bonardo en qualité de président du Conseil de l’Ordre des chirurgien-dentistes des Alpes Maritimes.

Madame la Présidente.

Je constate tout d’abord que le courrier précédent du Dr Bonardo omet de préciser l’essentiel de ce qui avait été demandé, à savoir, quels étaient les griefs reprochés nombreux et graves selon les termes de l’Ordre qui justifiaient un avis défavorable à ma reprise d’activité après environ sept années d’interdiction d’exercer.
D’autre part malgré le fait que je précise vouloir me conformer dorénavant aux bonnes pratiques de la profession telle que définies par l’Ordre, le Conseil de l’Ordre ne donne toujours pas d’avis favorable à ma reprise d’activité. J’en déduis donc qu’il maintient son avis défavorable initial.
D’autre part aucun commentaire n’est apporté sur les éléments mis dans le précédent courrier qui pourraient laisser penser qu’il est peut-être éthique de proposer aux patients malades, l’extraction de leurs dents dévitalisées, ce pourquoi je fus jadis condamné.
Mais par contre, le Président de l’Ordre justifie les sanctions prises à mon encontre dans un objectif de préservation de la santé publique. Je ne doute pas de la bonne foi du Dr Bonardo qui a pensé préserver la santé publique en œuvrant pour me faire interdire d’exercer. Puisqu’il n’aborde que ce sujet qui me semble pourtant un peu hors sujet, je vais donner quelques informations sur ce point afin que tout soit plus clair notamment les raisons pour lesquelles le Conseil de l’Ordre ne donne peut-être pas d’avis favorable à ma reprise d’activité.

Je fus interdit jadis d’exercer parce que de part ma pratique, j’appartenais à un petit courant de thérapeutes, qui est aujourd’hui encore minoritaire dans le monde et surtout en France. Ces personnes pensent que les dents dévitalisées même sans symptômes infectieux apparents pourraient intervenir grandement dans la dévitalisation des organismes et aussi dans de très nombreuses maladies. La dent dévitalisée est l’exception de la médecine moderne à une règle qui spécifie de ne pas conserver d’organes morts. La dent dévitalisée est en effet le seul organe mort que l’on a consenti conserver dans les organismes vivants car cela faisait énormément plaisir au public qui ainsi évitait l’extraction. En général, la règle en médecine est de se débarrasser de tout organe mort qui peut provoquer une septicémie en se gangrénant. Mais en extirpant les parties molles de la dent (la pulpe, ou le nerf en langage populaire) et en les remplaçant par de la pâte antiseptique, on s’est aperçu que le corps arrivait à accepter cette dent dévitalisée. Enfin apparemment, car certains soupçonnent la dent dévitalisée de provoquer toutes sortes de maladies même si elle ne présente aucune infection apparente juste autour d’elle. Ce sujet entre dans la théorie de l’infection focale. Ces personnes pensent par conséquent qu’il est éthique de proposer l’élimination des dents dévitalisées, au moins aux personnes malades ou fatiguées.
Dans la pratique, lorsque j’exerçais encore, j’informais mes patients des avantages et des inconvénients de la dent dévitalisée en insistant un peu c’est vrai sur les inconvénients car je pensais qu’il y en avait plus que des avantages. Certains patients convaincus acceptaient de faire enlever toutes leurs dents dévitalisées surtout s’ils étaient malades et certains le regrettaient parfois ensuite c’est vrai. Mais d’autres guérissaient grâce à cela de choses et d’autres et retrouvaient de la vitalité de façon étonnante.
Le sujet est donc complexe, on le voit et ne peut se résumer à dire en gros comme le dit le Dr Bonardo, et qui revient à dire: « la science a condamné cette pratique donc j’ai condamné le Dr Darmon qui l’a mise en application. » C’est une explication simpliste qui cache en fait une vérité bien plus complexe que je vais essayer d’expliquer ici car ses retentissements pourraient être très importants si on arrivait un jour à le comprendre.

Le sujet de la toxicité des dents dévitalisées fait polémique dans la profession dentaire depuis toujours et plus exactement depuis le début du vingtième siècle, car la dévitalisation des dents date environ de cette époque. Pourtant, la dévitalisation dentaire a été majoritairement admise comme un grand progrès de la dentisterie moderne qui a permis de conserver des dents qu’il aurait fallu sinon extraire quand la carie était trop avancée. Les personnes pensant qu’il faut extraire toutes dents dévitalisées remettent donc en question un dogme. La dévitalisation dentaire a aussi permis aux dentistes de passer de l’image d’arracheurs de dents à une image plus raffinée, celle de microchirurgiens bien plus conservateurs de dents qu’avant. Il est évident que lorsqu’on dévitalise une dent plutôt que de l’enlever, on conserve ainsi une dent et le patient en est toujours plus satisfait que si on doit lui ôter sa dent. Mais la question que ce sont posée aussi certains est de se demander si la santé n’en était pas alors gravement mise en danger, plus encore que si on extrayait une dent. Et ils n’ont pas fait que se le demander, ils l’ont même prouvé en guérissant des patients en enlevant leurs dents dévitalisées. Cela peut se comprendre car certaines études scientifiques montrent que ces dents même si elles ne font pas mal en bouche, sont remplies avec le temps de bactéries toxiques susceptibles de diffuser leurs toxines dans l’organisme et donc de le détruire à petit feu. Les dents dévitalisées ne sont donc pas des organes sains par définition. D’autres pensent et ils sont largement majoritaires, que le bénéfice de conserver une dent vaut bien de supporter quelques bactéries issues de ces organes morts putrides que sont les dents dévitalisées. Et ma foi ils ont le droit de le penser et répondent ainsi à une demande de la société qui va tout à fait dans ce sens. Le public veut garder ses dents à tout prix et ne veut pas vraiment en savoir plus car une bouche édentée lui semble plus grave encore. Il n’existe toutefois pas d’étude scientifique qui démontrerait que l’approche extractionniste est en contradiction avec les données actuelles de la science. Le dire serait un peu comme dire qu’il faut interdire l’acupuncture parce qu’il existe des études scientifiques qui montrent que cela fait prendre des risques à la santé publique en brandissant des études de soit disant experts allopathes qui l’affirmeraient. C’est un peu pourtant ce que semble faire le Dr Bonardo pour se justifier de ses précédentes actions visant à mon interdiction d’exercer, lorsqu’il cite des expertises dont on s’apercevrait que certaines ne veulent d’ailleurs pas dire grand chose si on y regardait de plus près. Toutefois, on pourrait aussi dire qu’il n’y a pas d’études scientifiques qui montrent que l’approche conservatrice, qui est très majoritairement appliquée en France, soit elle aussi en contradiction avec les données acquises de la science. Le problème n’est pas un problème de science mais de choix de société en quelque sorte. Une société qui majoritairement veut conserver des dents dévitalisées qu’elle pense être des dents mais qui en fait ne sont que des cadavres de dents. La profession dentaire répond ainsi avant tout à cette demande en estimant que même si ces dents sont un peu remplies de bactéries toxiques, ce n’est pas si grave que cela et que ma foi ce serait encore pire de perdre une dent, ce que majoritairement pense aussi le public d’autant plus que la technologie moderne a permis que ces dents dévitalisées ne fassent plus mal et ne présentent quasiment plus d’infection localement, enfin en apparence.
Ainsi, dans tous les pays modernes, la dent dévitalisée a eu un grand succès. Les dentistes qui dévitalisent les dents pourraient être appelés des thanatodentistes car les techniques de dévitalisations ressemblent plus aux techniques des embaumeurs qu’à une quelconque technique médicale. De même les personnes qui ont en bouche de dents dévitalisées pourraient être qualifiées de nécromangeurs car ils mangent avec des dents mortes. Évidemment l’approche extractionniste est un peu comme l’épine d’oursin dans le pied des thanatodentistes car il est un peu contrariant que certains dentistes guérissent des maladies graves, diverses et variées, en enlevant des dents dévitalisées. Certains prétendant même que la dent dévitalisée serait la première cause de cancers et de maladies graves de notre civilisation. Cela signifierait en quelque sorte que les patients ont été empoisonnés par leur dentiste. On comprend que certains puissent ne pas être très contents que cela se sache. Il y a donc toujours eu un combat pourrait-on dire entre ces deux approches et ce combat a toujours été plus ou moins gagné par les thanatodentistes car le public dans son immense majorité préfère cette option qui apparemment lui permet de conserver plus de dents. Néanmoins dans divers pays du monde, l’approche extractionniste a toujours été plus ou moins présente, avec ces moments de gloire parfois et ses moments plus difficiles où des dentistes notamment aux Etats-Unis se voyaient trainer devant les tribunaux par des rapports d’expertises de thanatodentistes qui les faisaient passer pour des fou furieux mutilateurs, tandis qu’eux mêmes traitaient en général l’approche conservatrice comme une folie morbide qui entrainait la santé de ceux qui possédaient des dents mortes vers la maladie et la mort. Et ce combat a eu lieu aussi en France et particulièrement dans notre département des Alpes Maritimes qui est la région de France la plus concernée par le sujet comme nous le verrons un peu plus loin. Dans certaines régions du monde, ces combats se sont un peu arrêtés et chaque camp respecte l’autre semble-t-il. C’est apparemment le cas de la Suisse et de l’Allemagne pour ne citer que ces deux pays. Et je sais qu’aux Etats-Unis, cela se calme aussi en ce moment. Sur mon précédent courrier se trouve d’ailleurs une attestation du directeur de la clinique Suisse Paracelsus qui atteste que les médecins et dentistes y exercent dans cet esprit et une étude réalisée par le Dr Lechner de Munich qui parle de toxicité de dents dévitalisées. Si on s’intéressait de plus près au Dr Lechner, on verrait bien qu’il applique aussi la politique extractionniste comme bien d’autres dentistes allemands. Cette façon de faire se fait donc en Suisse et en Allemagne sans que les dentistes qui l’appliquent soient embêtés par la justice car leur pratique est tout aussi défendable que celle de tout faire pour conserver des dents dévitalisées. On y estime que les patients ont le droit de choisir ce qu’ils veulent et que personne n’est fou de défendre une idée ou une autre. Si certains refusent de devenir des nécromangeurs, comme la majorité de la population actuelle de la civilisation occidentale, ce droit leur est donc accordé. Mais ce n’est pas le cas en France comme nous allons le voir. En ce sens l’article de loi qui spécifie que ce procédé est insuffisamment éprouvé, sur lequel le Conseil de l’ordre s’est appuyé pour me faire interdire d’exercer est totalement vrai, enfin totalement vrai en France. Car en France il n’existe qu’une infime partie de la profession dentaire qui s’intéresse à ce sujet et on peut donc dire qu’en France, cette pratique d’extraire les dents dévitalisées pour redonner la santé aux gens a été assez peu expérimentée. En ce sens les décisions prises jadis par le conseil de l’ordre sont donc en accord avec la loi, enfin d’une certaine façon. Effectivement, la dentisterie moderne notamment française, n’a pas beaucoup éprouvé cette méthodologie qui consiste à redonner la santé aux patients en leur enlevant leurs dents dévitalisées. Et le Conseil de l’ordre a sa part de responsabilité dans cette histoire comme nous allons le voir. Les universités dentaires ont aussi leur part de responsabilité d’ailleurs. L’explication est assez simple. Les universitaires de l’université d’odontologie sont aussi pour l’immense majorité des dentistes et eux aussi sont soumis à des impératifs économiques dictés par les demandes des patients. D’autre part, en France, l’acte le plus rentable pris en charge par la sécurité sociale et les mutuelles françaises, est la couronne sur dent dévitalisée. Par contre, les soins de carie pour conserver une dent vivante, sont à la limite de la rentabilité d’un cabinet dentaire. Je fus d’ailleurs jadis licencié d’un centre mutualiste de Cannes car je n’étais pas assez rentable de ne pas faire assez de couronnes sur dents dévitalisées, faisant tout pour garder les dents vivantes et incitant mes patients malades à enlever leurs dents dévitalisées. C’est une pratique très anticommerciale car les patients sont demandeurs de conserver leurs dents car ils ne comprennent pas que leurs dents dévitalisées risquent de détruire leur santé. Et s’ils acceptent, ensuite bien souvent ils vous le reprochent car ils ne se rendent pas compte de ce qu’ils ont évité. Mais par contre en regardant leur bouche, ils se rendent bien compte qu’il leur manque des dents. Les apparences sont donc très trompeuses. On ne peut soigner ainsi qu’un public éduqué ce qui demande parfois beaucoup d’efforts et ce serait plutôt le rôle de l’Etat que des dentistes seuls dans leur cabinet dentaire confrontés à des impératifs économiques et la concurrence des confrères qui leur disent qu’eux ils auraient pu leur sauver leurs dents. Bref la pression sociale fait qu’aujourd’hui emprunter cette voie extractionniste est un véritable parcours du combattant. On pourrait d’autre part qualifier la voie difficile extractionniste de bio dentisterie car bio signifie vivant, et il s’agit de ne laisser dans les bouches que des dents vivantes. Les dentistes universitaires, ont d’ailleurs aussi pris la voie de la thanato-dentisterie qui est aussi la voie de la facilité et ont donc fait à leurs patients ce que ces derniers voulaient majoritairement, c’est-à-dire devenir des nécromangeurs. Les universitaires n’ont donc pas été spécialement zélés à ce que l’université s’intéresse en quoi que ce soit à ce qui pourrait contrarier cette activité professionnelle qui fonctionnait correctement. Pourquoi approfondir le sujet de la toxicité de la dent dévitalisée puisque la population en était fort satisfaite car elle a aussi le mérite de lui éviter de perdre des dents, ce qui pourrait être considéré comme une mutilation plus grave encore qu’un petit empoisonnement. Le sujet est donc complexe on le comprend aisément. De fait, la pratique extractionniste des tenants de la bio dentisterie n’a pas été suffisamment expérimentée dans la profession dentaire, c’est vrai, surtout en France car aux États-Unis elle a été expérimentée sur des millions de personnes en fait. Dans les pays germanophones et anglophones, elle l’est actuellement à grande échelle. L’heure de gloire des théories extractionnistes fut entre les deux guerres, à une époque certes où les traitements endodontiques (de dévitalisation) n’étaient pas aussi perfectionnés qu’aujourd’hui, bien qu’aucun traitement endodontique ne puisse toutefois être considéré comme parfait.

L’histoire de mes problèmes avec le conseil de l’ordre a commencé lorsque j’arrivais dans la région après avoir travaillé en Bourgogne. Je suis est allé voir ce que faisait le fameux docteur J.G. Thomas de Grasse qui disait à tous ses patients d’enlever leurs dents dévitalisées et que la profession dentaire de la région faisait passer pour un fou. Et c’est ainsi qu’en étudiant des centaines de cas de patients du Dr Thomas, je découvris la vérité sur le sujet. Les patients du Dr Thomas guérissaient vraiment mieux qu’ailleurs et son secret m’a-t-il dit est qu’il leur faisait enlever leurs dents dévitalisées. C’est ainsi que je fus convaincu à l’époque des théories sur l’infection focale qui incriminent les dents dévitalisées. Mais, on peut facilement le comprendre, le Dr Thomas était haï pourrait-on dire, par la majorité des dentistes de la région qui y voyaient un trublion à leur activité. Il n’était pas rare qu’un patient revienne chez son dentiste en expliquant que depuis que le Dr Thomas lui avait fait enlever l’onéreux bridge, par un autre dentiste, il avait guéri de sa maladie. Cela ne fait pas plaisir bien sûr de savoir qu’un autre dentiste défait des traitements que vous avez effectués. Néanmoins, comme moi même je fus convaincu du fait que les dents dévitalisées étaient mauvaises pour la santé, je me mis à appliquer aussi cette théorie.

Quand je voyais un nouveau patient qui se plaignait d’une affection quelconque, je lui expliquais que le mieux pour sa santé serait qu’il enlève toutes ses dents dévitalisées. Très souvent pour l’aider à être convaincu, je l’envoyais consulter le Dr Thomas qui finissait de le convaincre. Un jour cela se sut et un patient que j’avais envoyé chez le Dr Thomas se plaint après coup d’avoir fait enlever ses dents dévitalisées. Je travaillais alors chez un dentiste de Cannes le Dr Arbona. A la suite de cet incident il me licencia en m’expliquant qu’il en était désolé, qu’il aurait bien aimé me garder, mais que de telle pressions lui avait été faites dans ce sens par des membres du conseil de l’ordre que pour se protéger d’eux, il devait se séparer de moi, ce que je compris aisément. Je ne voulais pas qu’à cause de moi il ait des ennuis. Nous cessâmes ainsi notre collaboration dans les meilleurs termes qui soit. Heureusement je pus reprendre ensuite rapidement un cabinet sur Cannes. Je pus ainsi transférer ma patientèle et ne plus dépendre d’un employeur dentiste qui aurait pu se contrarier de ma pratique hors norme dans laquelle je persévérai. Il fut toutefois évident alors pour le conseil de l’ordre que je collaborais avec le Dr Thomas, la bête noire des dentistes de la région, celui qui avait l’outrecuidance de remettre en question leurs traitements de dévitalisation dentaire. C’est ainsi que je fus une première fois interdit d’exercer une année en l’an 2000 car soit disant, je faisais des traitements qui n’étaient pas en accord avec la science ou quelque chose dans le genre. Pendant cette première année d’interdiction d’exercer, je continuais mes recherches sur la dent dévitalisée, un peu comme l’inspecteur Collombo toujours à la recherche d’indices. C’est ainsi que j’appris que de part le monde de très nombreux médecins faisaient enlever les dents dévitalisées de leurs patients et ainsi les guérissaient mieux que tout. Dans cette recherche, je me rendis même en Suisse à la clinique Paracelsus pour continuer mon enquête sur les dents dévitalisées. J’avais entendu des choses fort intéressantes au sujet de cette clinique par l’américain le Dr Meinig avec qui j’entretenais des discussions téléphoniques et qui est aux Etats-Unis le grand défenseur de la théorie sur la toxicité des dents dévitalisées. C’est un ancien spécialiste de la dévitalisation dentaire qui fut même un cofondateur de l’association américaine des spécialistes en endodontie (la science de la dévitalisation dentaire). Il a retourné sa veste aujourd’hui si on peut dire et pense que toute sa vie il aurait mieux fait de dire à ses patients d’enlever leurs dents dévitalisées plutôt que de tout faire pour les leur conserver et a même écrit un livre sur le sujet. Le titre est « rool canal, cover up » qui se traduit par « dent dévitalisée, ce qu’on vous a caché ». En Suisse, je découvris que toute une équipe de médecins et dentistes ne jurait que par le fait qu’il fallait enlever les dents dévitalisées. Je constatais que cette clinique recevait des patients des alentours certes mais aussi du monde entier et était connue pour ses guérisons exceptionnelles. Cette clinique utilisait aussi de multiples techniques de médecines naturelles qui était fort onéreuses et permettaient de facturer des honoraires que peu de français auraient pu payer. Je restais assez longtemps dans cette clinique qui m’ouvra ses portes aimablement pour que je puisse tout apprendre de leurs techniques après que je leur ai expliqué que j’étais dentiste et avais été interdit d’exercer pour les raisons que l’on sait. Ce sur quoi ils ne purent que compatir, faisant aussi eux même exactement la même chose. Je restais pendant quelques semaines avec le médecin le Dr Rau, directeur de la clinique, à le voir travailler comme je l’avais fait jadis avec le Dr J.G. Thomas, histoire de toujours en apprendre plus sur la santé. Un jour ayant suffisamment sympathisé avec le médecin, ce dernier m’avoua une chose fort intéressante. Il me dit que dans les pathologies graves, tout ce qu’ils faisaient dans cette clinique était négligeable si on ne faisait pas enlever les dents dévitalisées des patients. Bref, que faire enlever les dents dévitalisées était bien la mesure la plus efficace sur tout ce qu’ils faisaient dans cette clinique (phytothérapie, ayurvéda, acupuncture, homéopathie, ostéopathie, ozonothérapie, psychothérapie etc….) J’appris aussi un peu par hasard, que les habitants aux alentours de la clinique étaient aussi les habitants de Suisse qui étaient les moins malades en étudiant les chiffres de dépenses de santé de la Suisse. Ces informations se trouvent sur le site www.sante-dents.com du professeur Raynaud de l’Université des sciences de Toulon.

Lorsque je fus réautorisé à exercer après mon année sabbatique forcée, je continuais dans la même voie extractionniste. Je récidivais pourrait dire en quelque sorte le Dr Bonardo. J’obtenais des guérisons étonnantes sur toutes les pathologies et je filmais d’ailleurs des témoignages de guérison. Certains médecins qui les visionnèrent furent d’ailleurs fort surpris de telles guérisons qu’on ne voit pas me dirent-il avec la médecine actuelle. Ces témoignages sont visibles ici. Mais cela se savait que je continuais dans cette voie et cela continuait à contrarier mes confrères thanatodentistes. Mais il n’y avait pas d’autres plaintes contre moi. Un peu plus tard, le président de l’ordre le Dr Bonardo déposa plainte contre moi pour le simple fait que j’avais envoyé un courrier au psychiatre responsable du problème des suicides dans la région PACA pour l’informer que de multiples patients à moi qui avaient fait jadis des tentatives de suicide, n’avaient plus envie de se suicider après avoir fait enlever leurs dents dévitalisées. Je joignais au courrier les témoignages de ces patients avec leur photocopie de carte d’identité afin que tout puisse être vérifié. Ce courrier fut envoyé au Conseil de l’Ordre et le Dr Bonardo déposa plainte contre moi car selon lui je tentais de tromper un pauvre psychiatre qui aurait pu ensuite faire édenter inutilement ses patients. Il faut reconnaître que le Dr Bonardo était tout à fait logique avec lui même, un peu comme le furent d’ailleurs jadis les inquisiteurs qui brulaient les hérétiques qui remettaient en question les dogmes de la sainte église catholique. Toutes proportions gardées toutefois car le Dr Bonardo n’a jamais pensé à bruler autre chose que mon autorisation d’exercer. A la suite de sa plainte à cause de mon fameux courrier au psychiatre sur les suicides, je fus alors sanctionné de trois ans d’interdiction d’exercer. La sanction se transforma ensuite en interdiction définitive à la suite d’une plainte d’une patiente venue de Lyon se faire soigner ainsi, convaincue après coup par un confrère de Lyon que mes soins d’extractions de ses dents dévitalisées étaient une arnaque. Et cela malgré la présence du Dr Gilbert Crussol à l’audience qui me défendit en expliquant que lui même avait exercé jadis dans cet esprit extractionniste. Un esprit qui était conforté par de multiples études scientifiques et que lui même avait donné jadis des enseignements sur le sujet à de multiples dentistes et notamment à d’anciens présidents de Conseil de l’Ordre. Le Dr Crussol est en France un peu l’équivalent du Dr Meinig aux États-Unis car il fut le fondateur de la première association de spécialistes en endodontie de France. Mais cela n’empêcha pas la sanction d’interdiction d’exercer définitive par le Conseil National de l’Ordre pas plus que de citer la clinique suisse Paracelsus qui appliquait aussi cette philosophie de soins. Une sanction définitive qui d’ailleurs n’avait pas été prononcée en première instance et ne fut prononcée qu’en appel. Une petite faute de procédure que je n’avais pas envie de me ruiner à faire annuler en cour de cassation car le procès qui aurait était refait ensuite aurait abouti au même verdict de toutes façons et je n’étais pas très riche en plus. Je comprenais bien que ce procès cristallisait toute la colère d’une profession dentaire vis à vis d’une idée très dérangeante. Ce procès n’avait été instruit qu’à charge et la mauvaise foi de mes juges thanatodentistes avait été portée à son paroxysme, en se référant notamment à l’avis d’un spécialiste universitaire de la dévitalisation et à un collège de vieux dentistes académiciens qui toute leur vie avaient dévitalisé des dents sans s’intéresser à l’infection focale. Et encore pas pour ma première interdiction d’exercer à un an qui eu lieu l’année 2000. Cela revenait à demander à des fabricants d’amiante de faire un rapport sur la toxicité de l’amiante. Il était donc inutile de vouloir rejouer à nouveau cette pièce de théâtre qui m’avait déjà couté très cher d’un point de vue financier et où la fin était de toute façon écrite d’avance. J’acceptais alors la sentence en me disant, selon mes croyances, que dans une vie antérieure j’avais probablement été moi même un méchant inquisiteur et que je devais aujourd’hui le payer certainement. C’est plutôt ma mère qui fit une dépression à la suite de ce jugement, voyant son fils qui rentra jadis major primant après le concours de première année de médecine à Nice, finir ainsi prématurément et si lamentablement sa vie professionnelle. Je fus ainsi le premier dentiste de France à être condamné pour ce sujet et si cela s’est fait dans notre région, ce n’est pas un hasard comme vous l’avez déjà compris.

Il se trouve qu’historiquement le sud est de la France a été la région où cette voie extractionniste a été la plus explorée en raison d’un dentiste installé jadis à Cannes, le Dr Davo Koubi qui fut un premier défenseur de cette cause qu’il découvrit lors d’un voyage aux États-Unis. Il avait convaincu du bien fondé de ces théories, un médecin installé jadis à Grasse, le fameux Dr Thomas J.G.. Tous deux, conseillaient à tous leurs patients d’extraire leurs dents dévitalisées. Ils agissaient ainsi comme les médecins de la clinique Suisse Paracelsus et eux aussi étaient connus pour guérir mieux que tout le monde des maladies diverses et variées.
La présence du Dr J.G. Thomas à Grasse avait fait que quelques dentistes des Alpes Maritimes suite à son influence principalement, avaient adopté eux aussi cette philosophie de soins. Après mon interdiction définitive d’exercer, ces dentistes furent tous convoqués par le Conseil de l’Ordre des Alpes Maritimes présidé par le Dr Bonardo et parfois même sanctionnés et menacés que ces sanctions soient élevées au niveau de la mienne montrée en exemple. Le Dr Bonardo voulait évidemment éviter que cette idée dangereuse pour la santé publique ne prenne de l’expansion dans notre pays. C’est ainsi que par exemple le Dr Carabasse de Pégomas stoppa net cette pratique qu’il avait pourtant appliquée sur des centaines de patients depuis des années ainsi que le Dr X (*) de Nice tandis que le Dr Kloos de Cannes la tempérait suffisamment pour apaiser le Conseil de l’Ordre. Le Dr Kloos est un dentiste franco allemand qui a repris le cabinet dentaire du Dr Koubi et est lui même un adepte de la théorie focale. Il sait bien que cette théorie est très en vogue en Allemagne et qu’un ami et collègue à lui, le Dr Lechner l’applique à Munich depuis des années. Le Dr Kloos l’a appliqué pendant des années à Cannes aussi. Selon les termes du Dr Bonardo quand je discutais avec lui, c’était un allemand et il avait en quelque sorte le droit d’appliquer ce qu’on lui avait appris là bas alors que moi m’avait dit le Président Bonardo, je devais appliquer ce qu’on m’avait appris à l’université de Nice. On peut voir qu’il existe une logique qu’on ne peut nier toutefois dans l’esprit du Dr Bonardo.

Même un stomatologiste de Nice, le Dr Estrade qui participait à cette logique thérapeutique fut un jour menacé par un membre du Conseil de Ordre d’avoir des ennuis s’il persévérait dans cette voie et s’arrêta alors net lui aussi.

Mais le zèle du conseil de l’Ordre à protéger la santé publique en évitant la diffusion de cette idée alla même jadis jusqu’à tout faire pour empêcher que cette idée soit même débattue dans la profession médicale. Un peu avant d’être interdit définitivement d’exercer, je préparais un symposium sur le sujet de la toxicité des dents dévitalisées et y étaient invités à parler plusieurs dentistes et médecins de la région. Le projet fut envoyé comme il se doit au conseil de l’ordre. Tous ceux qui y été cités furent intimidés afin de s’abstenir d’y participer. Le Dr Marchisio de Monaco reçu un appel téléphonique d’un membre du conseil de l’ordre qui lui expliqua qu’il avait plus à perdre qu’à gagner à parler de ce sujet. Le professeur de la faculté de dentaire de Nice, le Dr Terestri était un spécialiste du sujet et avait même connu le stomatologiste le Dr Lepoivre éminent stomatologiste, chef de service de stomatologie d’un hôpital parisien, qui écrivit jadis un ouvrage sur le sujet qui justifiait l’extraction de toute dent dévitalisée chez un malade. J’aurais aimé que le Dr Térestri vienne en parler au symposium mais quand le Conseil de lOrdre l’informa de ce projet, il aurait très bien pu me téléphoner tout simplement pour me dire qu’il ne désirait pas y participer. Mais, il s’empressa de m’envoyer un recommandé précisant qu’il ne participerait pas de près ou de loin à ce symposium histoire de se couvrir auprès de ses confrères qui l’avaient sans doute menacés au cas où. Il savait bien que cela revenait à marcher sur des œufs et ne voulait surtout plus avoir de problème avec l’Ordre qui l’avait déjà rappelé à l’ordre jadis pour s’être exprimé dans les médias et s’être du même coup fait de la publicité. Quant-au médecin rhumatologue le Dr J.G. Thomas qui était le pilier dans la région de cette idée, il dut avec mon accord déposer plainte contre moi pour satisfaire son conseil de l’ordre et éviter une sanction. Cela afin de spécifier qu’il ne participerait pas à ce symposium et que son nom avait été mis sur le projet du symposium sans son accord. La plainte n’eut aucune suite bien sûr car le procureur fut informé qu’elle n’avait pour objectif que d’apaiser le conseil de l’ordre des médecins. Ce dernier avait exercé sur le Dr Thomas des pressions sur la recommandation du conseil de l’ordre des dentistes qui voulait éviter tout développement de cette connaissance. On pourrait croire, Madame La Présidente, lire un vrai roman politique où le Conseil de l’Ordre a œuvré de toutes ses forces pour étouffer une idée dérangeante. Mais en fait on sait bien que le Dr Bonardo n’agissait qu’en étant persuadé ainsi de protéger la santé publique, bien évidemment, cela va de soit.

C’est une idée en tout cas que j’ai bien compris que je devais abandonner de vouloir appliquer en France. Et si j’ai pris cette décision c’est parce que depuis sept ans que je suis interdit d’exercer, j’ai bien vu que cette idée n’avait aucun succès en France. Je n’ai eu de cesse d’informer la population française sur la gravité du sujet de la toxicité des dents dévitalisées que même une ancienne ministre de l’environnement Corinne Lepage qualifia jadis de grave question de santé publique. Et là, à mon grand étonnement, je n’ai rencontré quasiment personne qui s’y intéresse car pour la plupart ils ne peuvent croire qu’une noble institution comme la profession dentaire puisse occulter une vérité aussi grave. Si c’était vrai, cela se saurait, se disent-ils tous. Ainsi je n’ai rencontré que des politiciens que cela n’intéressaient pas, des journalistes qui y voyaient une loufoquerie de plus, des médecins qui ne se vexaient à l’idée que des dentistes puissent mieux soigner les malades qu’eux mêmes, des praticiens de médecine naturelles frustrés aussi de ne pouvoir enlever les dents dévitalisées eux mêmes et y voyant plutôt une façon de perdre des clients qui guériraient trop vite, des universitaires qui ne pouvaient imaginer qu’une université médicale occulte une vérité aussi importante, des dentistes qui ne voulaient pas perdre leur temps à expliquer que des dents qui ne faisaient pas mal pouvaient pourtant affecter la santé, des commerçants et des laboratoires pharmaceutiques qui n’y voyaient là rien à vendre, des organisateurs de congrès de bien être et de médecines naturelles qui n’y voyait là rien de très glamour car il s’agit de proposer d’enlever des dents en apparence même si ce sont des cadavres ce dents en réalité et ensuite en général de mettre des dentiers, d’écologiste qui ne s’intéressaient qu’à la pollution de l’environnement ne pouvant s’imaginer que la pire des pollutions vient souvent de l’intérieur, des scientifiques qui avaient peur de se voir supprimer leurs crédits de recherche pour avoir marché sur les plates bandes des dentistes, de dentistes holistiques qui ne pensaient qu’à ôter des amalgames au mercure et couronner d’or des dents dévitalisées ou à disserter sur les causes ésotériques des affections dentaires, des médecins ou naturopathes qui avaient bien compris que la première chose à faire pour guérir était de désempoisonner l’organisme mais oubliaient juste la principale source d’empoisonnement actuelle qui se trouve être la dent dévitalisée, de psychothérapeutes qui pensaient que tout venait du mental, de fonctionnaires en charge de santé publique qui se considéraient incompétents à se pencher sur tel sujet et qui y voyaient plus de problèmes pour leur carrière qu’autre chose, de patients qui sont tous à la recherche du médicament ou vaccin miracle plutôt que de vouloir adopter une démarche hygiéniste consistant tout d’abord à se débarrasser de dents empoisonnantes, et de chrétiens qui s’offusquaient qu’on puisse tuer des embryons par l’avortement mais ne voyaient pas de problème à tuer des dents même si l’Adam est pourtant au tout début de leur histoire de la vie (un peu d’humour ne fait jamais de mal…). Je me rappelle même avoir eu le président de l’Académie des Sciences au téléphone pour m’entendre dire que son dentiste lui avait dit que tout cela n’était que des bêtises et donc qu’il ne voulait pas en entendre plus. Eh oui tout le monde fait confiance à son dentiste sur ce sujet car il est le spécialiste de tout ce qui concerne les dents, celui qui a fait de longues études sur les dents, preuve en est qu’il sait mieux que quiconque, soulager nos souffrances quand on le consulte pour un mal de dents. Et puis ne dit-on pas des dentistes qui arrachent les dents : « menteur comme un arracheur de dents ». Quant-aux rares personnes qui arrivaient à être convaincus du problème, faisaient enlever leurs dents dévitalisées, ils étaient parfois déçus de ne pas guérir de tout immédiatement, comme si le fumeur allait retrouver immédiatement des poumons neufs en s’arrêtant de fumer après avoir encrassé ses poumons pendant des années. Toutefois, et c’est ce qui est extraordinaire et plein d’espoir, nombreux étaient ceux qui retrouvaient ensuite la santé plus que tout en faisant enlever leurs dents dévitalisées. Mais ils se sont en général plus préoccupés par la suite de leurs petits intérêts plutôt que d’informer véritablement leurs concitoyens sur ce qui les avait guéri. Il faut dire à leur décharge qu’ils ont vite remarqué la difficulté qu’il y avait à tenter de faire passer cette information qui implique en général ensuite de porter un dentier. Ceux qui ont effectué cette démarche en étant préalablement très malades et qui ont retrouvé ainsi la santé en sont fort satisfaits dans l’immense majorité des cas car cet inconvénient est bien peu à côté d’une grave maladie. Mais globalement, je n’ai rencontré que très peu d’intérêt pour le sujet car d’une certaine façon, tout est fait pour que cette connaissance ne se développe pas. Et cela dure depuis plus d’un siècle car il est très difficile pour le public de comprendre le lien entre ses dents qu’on lui dévitalise et les affections graves qui se déclenchent des années plus tard. Ainsi, la dent dévitalisée a pris une ampleur qui fait que huit ou neuf français sur dix en possèdent aujourd’hui et que tous sont persuadés que cela est bien mieux que d’avoir des dents en moins. J’ai ainsi constaté que j’étais tout à fait incompétent à passer ce message chez ceux qui en Europe ont le plus de dents dévitalisées comme une enquête personnelle me l’a montré et qui sont aussi comme par hasard, les plus malades d’Europe de l’Ouest. Il faudrait faire une campagne d’information colossale qui demande des moyens financiers colossaux que je ne possède pas. Une campagne qui pourrait conduire à ce que la population retrouve la santé. Et cela, j’en suis persuadé, bien plus que toutes les autres campagnes actuelles de prévention santé, sur les dangers de l’alcool, du tabac, de la drogue, de la malbouffe, des dépistages sur les différents cancers et autres maladies graves, des campagnes de vaccinations diverses parfois ruineuses et à l’utilité plus que douteuse et les sommes englouties dans a recherche médicales. Toutes ces actions qui depuis des années n’arrivent pas à infléchir les courbes de progression des maladies graves qui ruinent notre civilisation. Et cela serait très facile à prouver, il suffit comme je l’ai fait, d’enquêter sur les médecins qui ont fait enlever les dents dévitalisées de leurs patients et qui comme par hasard étaient ou sont connus pour mieux guérir que tout. Ayant toutefois constaté mon incompétence en tant qu’informateur sur ce sujet, je compte bien m’atteler à rentrer dans le rang et à soigner désormais comme le Dr Bonardo dès que j’aurais à nouveau le droit d’exercer. Certains pourraient trouver dommage que je me convertisse aux thèses des nécromangeurs mais cette information dérange tellement les dentistes du conseil de l’Ordre que je ne vois donc pas comment faire autrement compte tenu de leur pouvoir de me faire interdire d’exercer. Ils pourraient certes aussi concevoir que cette information, au lieu de les déranger, puisse les valoriser un jour. Cela dépend de quelle façon on regarde le problème, car ce sont aussi des dentistes qui pourront plus que tout, redonner la santé en enlevant des dents dévitalisées, C’est en tout cas ce qu’ont compris les médecins de la clinique Paracelsus qui attirent ainsi à eux de nombreux malades richissimes en les faisant passer chez leurs dentistes. Le paradoxe est qu’aujourd’hui les dentistes en France n’ont jamais autant dévitalisé de dents, notamment depuis les nouvelles mesures de remboursements des inlays cores et screw post (les pivots des dents à pivots) qui incitent encore plus qu’avant à dévitaliser des dents. Le Conseil de l’Ordre ne me semble d’ailleurs pas y avoir vu là un quelconque problème. Et comme par hasard, depuis, les cancers et les maladies graves ne cessent d’augmenter encore plus. Mais ce n’est peut-être qu’une simple coïncidence diront certainement le Dr Bonardo et tous ses amis du Conseil de l’Ordre.

Il existe d’autres coïncidences du même genre. Une lente et certaine destruction de la santé publique se produit depuis plus d’un demi siècle en France et notamment une augmentation constante des cancers. Certains pensent que c’est surtout depuis que la sécurité sociale dans le début des années cinquante a remboursé la couronne sur dent dévitalisée, incitant ainsi les dentistes à conserver bien plus de dents dévitalisées. Mais ce n’est peut-être qu’une simple coïncidence diront certainement le Dr Bonardo et tous ses amis du Conseil de l’Ordre.

Comme par hasard, c’est une génération plus tard, fin des années soixante dix, que les dentistes ont observé une augmentation considérable des problèmes orthodontiques sans se rendre compte qu’ils étaient surtout présents parmi les enfants de ceux qui possédaient des dents dévitalisées. Certains pensent que les problèmes orthodontiques sont une maladie génétique de défaut de croissance des os maxillaires due à un empoisonnement des os des maxillaires des parents porteurs de dents dévitalisées. Quand je vois des reportages sur les enfants pauvres d’Afrique ou d’Asie, dont les parents n’ont pas eu à l’évidence les moyens d’avoir des dents dévitalisées, je suis toujours étonné de voir leur dents parfaitement alignées alors qu’en France de plus en plus de petits enfants ont déjà très jeunes parfois les dents tordues.
Encore une coïncidence diront le Dr Bonardo et ses amis du Conseil de l’ordre. Certains pensent même que cette maladie génétique, les problèmes orthodontiques, n’est que la partie visible de l’iceberg des maladies génétiques pour lesquels certains recueillent des milliards alors qu’ils faudrait peut-être avant tout conseiller aux mères de faire enlever leurs dents dévitalisées avant de concevoir des enfants. Certes peut-être que le vue de leurs dentiers enlevés et laissés dans un verre d’eau avant de se coucher, par leur mari, risquerait de limiter aussi la quantité de maladies génétiques tout simplement en diminuant du même coup la natalité de notre pays. Mais c’est là encore un autre sujet (c’est juste encore un peu d’humour Madame La Présidente).

Mais il y a encore d’autres coïncidences qu’il serait bien de relever puisqu’on y est. Un éminent cancérologue allemand, le Dr Issels, qui était aussi responsable de la lutte contre le cancer par le gouvernement fédéral allemand, guérissait bien plus ses patients que ses collègues, et faisait enlever comme par hasard, toutes les dents dévitalisées de ses patients. C’était aussi le cas d’une éminente biologiste devenue naturopathe outre atlantique, feu Hulda Clark. Un cancérologue américain président de son association régionale de cancérologues est aujourd’hui un grand défenseur de la théorie extractionniste aux Etats-Unis. Son nom est sur un des rapports remis jadis au conseil de l’ordre. Encore une coïncidence diront le Dr Bonardo et ses amis du Conseil de l’Ordre.

Aujourd’hui, des milliards sont dépensées dans la recherche médicale et la maladie en général qui ruine notre civilisation et handicape lourdement notre économie qui de fait ne peut plus être compétitive. Des chiffres évaluent à environ 25 000 euros le prix du traitement d’un seul cancer. Je connais des histoires de cancers qui ont disparus juste en enlevant des dents dévitalisées, sans aucun autre traitement. Il y a plus précisément une histoire de cancer de l’estomac très grave qui affectait un médecin de la région qui guérit après que le Dr Kloos lui enleva toutes ses dents dévitalisées. Cette histoire fut même connue du doyen de la faculté de médecine de Nice de l’époque et d’un éminent chirurgien cancérologue de la clinique d’Arnaud Tzanck sans qu’elle n’ait aucune suite. C’est un cardiologue d’Antibes aujourd’hui à la retraite, le Dr Borelli, qui fut lui même sauvé d’une hépatite qui devait être mortelle par le Dr Davo Koubi, qui me la conta. Le Dr Koubi lui enleva une dent « parfaitement dévitalisée » m’a t il dit. Mais ce n’est peut-être qu’une simple coïncidence diront certainement le Dr Bonardo et tous ses amis du conseil de l’ordre.

Cette histoire fit le tour de la profession médicale à Antibes me dit-il. Il m’avoua toutefois ne jamais avoir parlé à ses patients des problèmes de dents dévitalisées, car ce n’était pas son affaire. Il ne voulait pas se mettre mal avec les confrères dentistes. Cette petite histoire résume un peu l’esprit qui prévaut très souvent en médecine vis à vis de ce sujet de la dent dévitalisée. Hormis quelques cas particulier comme certaines affections cardiaques où on fait systématiquement enlever les dents dévitalisées, on ne marche pas sur les plates bandes des confrères dentistes.

Le coût phénoménal de la maladie est un aspect des causes de la crise économique que peu de politiciens perçoivent. Une civilisation de malade ne peut être économiquement compétitive d’autant plus que ce sont les travailleurs qui financent la maladie. La bonne santé économique de l’Allemagne ou de la Suisse où la conscience de la toxicité de dents dévitalisées est plus développée est peut être aussi dépendante de la bonne santé de ses concitoyens.
Encore une coïncidence diront le Dr Bonardo et ses amis du Conseil de l’ordre.

Bon je m’arrêterai là pour les coïncidences mais quand j’entends ou plutôt je lis que le Dr Bonardo n’a agit en me faisant interdire d’exercer que pour protéger la santé publique, je me dis qu’il vaut mieux entendre cela qu’être sourd. La réalité est que le Dr Bonardo n’a fait que défendre une idée avec acharnement qui implique toute une profession, la profession dentaire, qui participe activement à un choix de société morbide qui l’entraine selon certains dans un gouffre. Je pense personnellement que chacun a certes le droit de défendre ses idées, même les plus perverses. Une idée perverse est une idée qui apporte un bénéfice à court terme mais qui à long terme apporte la souffrance, la maladie, la mort, la désolation et détruit la vie en fin de compte d’autant plus qu’elle est perverse. La dent dévitalisée rentre tout à fait dans cette catégorie et peu de personnes s’en sont rendue compte. Il n’y a bien sûr pas que la dent dévitalisée comme idée perverse que notre société a adoptée en pensant qu’elle constituait un progrès de civilisation. Elle fait pourtant partie selon moi du peloton de tête juste après l’idée de l’utilisation du nucléaire à des fins militaires et civiles. Le problème des amalgames au mercure très à la mode aujourd’hui et que je connais bien aussi me semble du pipi de chat à côté du problème des dents dévitalisées même si c’est aussi un problème, je ne le nie pas et je le sais bien pour en avoir enlevé des centaines jadis. Mais pourtant je ne suis nullement favorable à l’interdiction d’en poser en bouche pas plus que je suis favorable à l’interdiction de dévitaliser des dents, de vacciner les gens ou de leur prescrire toutes les drogues médicamenteuses possibles et je ne soutiens nullement tous ses fanatiques qui voudraient faire interdire ces pratiques qui ont aussi leur intérêt. Car je suis pour la liberté avant tout. Mais puisque l’Ordre des dentistes me refuse la liberté de redonner un corps sain à mes patients en leur enlevant leurs dents dévitalisées, je veux bien alors tout faire pour leur conserver leurs dents en les leur dévitalisant. Et qu’ils me remercient alors de leur avoir sauvé leurs dents et supprimé leurs douleurs de carie tout en leur ayant conservé leurs dents. Et quand ils auront mal au dos au mieux ou pire des cancers quelques temps plus tard, je leur dirai d’aller voir le rhumatologue ou le cancérologue car je ne suis en fin de compte qu’un dentiste qui ne fait donc que soigner des dents. Parce que si les dents dévitalisées donnaient le mal de dos ou le cancer, ça se saurait. Mais je respecterai aussi ceux qui pensent que les dents dévitalisées puissent donner de telles maladies car je pense que le respect des différences d’opinions est essentiel à la richesse d’une civilisation et à l’atteinte de la Vérité qui devrait en être son but ultime. Le seul problème dans toute cette affaire n’est donc pas en fait pour moi, que le Conseil de l’Ordre des dentistes ait défendu une idée, celle mise en pratique par la majorité des dentistes, mais qu’il ait aussi tout fait pour détruire l’idée concurrente minoritaire en prétextant ainsi protéger la santé publique. Une idée minoritaire dont certains pourraient prouver, que la santé de millions de personnes en dépend. Et qu’à défaut de promouvoir cette idée comme le rôle que lui a conféré l’Etat le lui aurait dicté en réalité, le minimum aurait été que le Conseil de l’Ordre la laisse au moins se développer sereinement. Et cela même si, il faut bien le reconnaitre, elle n’intéresse qu’une infime minorité de la profession tandis que l’immense majorité préfère rester des thanatodentistes et transformer la population en nécromangeurs en leur dévitalisant les dents car les gens ne se rendent pas compte qu’il s’agit dans cette pratique d’une transgression grave d’une loi de la vie qui consiste à introduire la mort dans les êtres vivants. Mais ma foi, si tel est le choix de la population, je veux bien être moi aussi le serviteur de cette dangereuse folie tout en espérant qu’un jour elle en prendra conscience. Mais peut-être que je me trompe et que ce que je pense être une dangereuse folie est en fait un grand progrès de notre science odontologique. Et si le Conseil de l’Ordre le croit encore après ce courrier, moi aussi je veux bien le croire. Je veux bien croire que tout ce que j’ai exprimé précédemment ne sont que des coïncidences sans fondements scientifiques et qu’il faut cesser dorénavant cette pratique dangereuse pour la santé de mes concitoyens qui consiste à leur proposer d’enlever leurs dents dévitalisées. Et j’ai déjà affirmé que je le ferai si le Conseil de l’Ordre m’autorisait à nouveau à exercer.

Mais alors pourquoi ne pas donner un avis positif à ce que je puisse à nouveau exercer. Et sinon quels sont les griefs si graves que j’ai pu commettre qu’il ne soit pas possible de le faire. Serait-ce ce simple courrier à un psychiatre que j’informais sur les rapports possibles entre les tendances suicidaires et les dents mortes. Ce courrier qui m’a valu trois ans d’interdiction d’exercer suite à la plainte du Dr Bonardo et pour laquelle Corinne Lepage avait fait un éloquent mémoire de défense où elle qualifiait ce procès de véritable chasse aux sorcières, mais qui n’a malheureusement pas servi à me sauver de l’interdiction d’exercer. Peut-être estimez vous que ce courrier justifie une interdiction à vie et que sept années ne suffisent pas à ma sanction. Il serait bien que vous précisiez tout cela ou bien donniez un avis favorable à ma reprise d’activité.

Veuillez donc répondre s’il vous plait à cette simple question Dr Bonardo: quels sont les griefs qui me sont reprochés qui justifient que vous ne donniez pas d’avis favorable au fait que je puisse à nouveau exercer comme dentiste après sept années d’interdiction d’exercer.

Voici une pensée qui pourrait apaiser mes confrères qui auraient pu se sentir éventuellement coupables après avoir lu mon exposé. Qu’ils sachent que ce n’est pas là mon objectif du tout et que je ne les juge absolument pas. En effet, conserver des organes morts dans la bouche, des dents dévitalisées pour être plus précis, est un choix de civilisation. La profession dentaire ne fait que répondre à une demande du public en fait, et elle n’a donc pas à se sentir coupable en quoi que ce soit. Moi même je ne me suis jamais senti coupable de le faire jadis à ceux qui insistaient pour que cela leur soit fait, malgré tout ce que je savais sur le sujet. C’est ce qui fait que de tous mes collègues, s’il y en avait un seul qui devrait se sentir coupable d’avoir dévitalisé des dents, ce devrait bien être moi même car je l’ai fait en toute conscience que j’empoisonnais ainsi mes patients à qui je le faisais. Mais je le faisais pourtant parce qu’avant tout je respectais leur choix que par incompétence je n’étais pas arrivé à faire changer. Et dans l’avenir je ne me sentirai pas non plus coupable en refusant d’enlever les dents dévitalisées des patients qui me le demanderaient parce que je ne ferai alors qu’obéir au Conseil de l’Ordre. Et pourtant, compte tenu de mes connaissances, je serai en fait le plus coupable de tous. Je sais bien que certains pensent que la dent dévitalisée pourrait bien être la première cause de cancers et que d’autres pensent que les morts par cancers aujourd’hui valent bien ceux occasionnés par la seconde guerre mondiale. Alors si un jour je passais devant un tribunal pour avoir dévitalisé des dents en toute connaissance de cause de tout cela que ce soit à Nice ou à Nuremberg qui sait ou ailleurs, je dirai à mes juges que je n’ai fait qu’obéir aux Ordres en dévitalisant mes patients ou leurs dents plutôt mais ça revient à peu près à la même chose. Ah, ça rappellera de bons souvenirs. Et après cette petite note d’humour, je finirai par une citation d’Aristote que je conseille de méditer aux membres du Conseil de l’Ordre qui pourraient avoir peur d’aborder sereinement ce sujet de la dent dévitalisée et qui voudraient continuer à m’interdire d’exercer. « Le courage est un juste milieu entre ce qui inspire la confiance et ce qui inspire la crainte ».

Dr Bruno Darmon : drbrunodarmon [arobase] yahoo [point] fr

(*) J’ai mis le Dr X alors qu’initialement j’avais mis le nom du confrère dentiste. Mais celui ci appris peu après que son nom avait été cité et me téléphona affolé. Il me dit qu’il avait très peur que le Conseil de l’Ordre l’apprenne et le persécute à nouveau en l’accusant de se faire de la publicité. Afin de se couvrir il me fit même envoyer un courier de son avocat, que je garde précieusement d’ailleurs, pour bien spécifier qu’il n’était pas du tout d’accord avec mes idées, sous entendu sur la toxicité des dents dévitalisées, alors que c’est absolument faux et que cela pourrait se prouver facilement. Tout cela montre à quel point le Conseil de l’Ordre des dentistes mène une politique de terreur sur ce sujet en terrorisant, c’est tout à fait le mot juste, les quelques dentistes qui oseraient s’intéresser au sujet et qui par leur pratique extractionnistre prouveraient que la corporation dentaire est d’une certaine façon responsable à travers la dent dévitalisée, plus que beaucoup d’autres choses, des maladies graves que notre civilisation connait aujourd’hui. Si un jour un journaliste s’intéressait au sujet, je lui donnerai alors le nom de ce confrère pereux et il pourra vérifier la véracité de toute cette histoire. Ce serait d’ailleurs une bonne idée de le faire car de ce sujet dépend la santé de millions de personnes. Je suis presque certain que le confrère lui confirmerait alors qu’il a agit ici par peur. Mais si toutefois, il persistait encore à mentir, je présenterai alors au journaliste des patients que nous avons eu en commun et qui attesteront du fait que lui aussi jadis pronait à ses patients d’enlever leurs dents dévitalisées même si aujourd’hui il s’est arrêté de le faire à cause de la peur d’être interdit d’exercer.
Quoiqu’il en soit, le plus navrant pour moi dans toute cette histoire, ce n’est pas la persécution de l’Ordre. Ce dernier joue ma foi son rôle dans la grande comédie de la vie. Même Dieu laisse agir le tentateur Satan. J’imagine que cela est d’une certaine façon nécessaire à l’évolution de l’être humain qui doit ainsi comprendre quel est le bon chemin à prendre en devant décider de refuser de prendre le mauvais chemin prouvant par la même son degrè d’évolution. Eh bien d’une certain façon la dent dévitalisée est une tentation parmi tant d’autres qui peut faire prendre conscience aux êtres vivants, du danger qu’il y a à introduire en eux de la mort. Mais pour cela, Il faut bien des méchants dans l’histoire car sinon d’une certaine façon pourrait-on dire, ce ne serait pas rigoilo.. …. Ce qui est surtout navrant pour moi en réalité est que jusqu’à aujourd’hui toute cette histoire n’intéresse personne quasiment même si on pourrait prouver que c’est là que réside la première cause de maladies graves et de cancers en France. Tout comme dans un registre plus grave encore, il est navrant que le sujet du nucléaire n’intéresse que trop peu de monde en France alors que là dans le futur, c’est la vie elle même dans notre pays et sur la planète qui pourrait être remise en question par le nucléaire. Alors d’une certaine façon, je remercie le Conseil de l’Ordre des dentistes de percécurter cette idée car au moins il lui donne une certaine importance. Et c’est peut-être grâce à cette persécution qu’un jour les journalistes s’intéresseront au sujet car le public est assez friant aujourd’hui d’histoires de complots avec des méchants qui occultent une vérité dont dépend la santé de la population. On l’a d’aileurs vu dernièrement avec plusieurs scandales faisant intervenir des laboratoires pharmaceutiques. Alors peut-être que c’est grace à cette histoire de persécution que les gens finiront aussi par ouvrir les yeux sur le sujet puis ouvrir leur bouche pour demander à leur dentiste qu’il leur retire leurs dents dévitalisées. Alors ils reprendront le chemin de la santé, ce qui est le plus impoirtant ne l’oublions pas.

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