Plaidoyer pour le végétarisme
Le soi-disant besoin essentiel de viande, de poisson ou d’œuf pour la croissance des enfants ou la santé, est encore une erreur de plus (parmi tant d’autres) que cautionne le corps médical occidental en général et français en particulier, plus soucieux des compromis avec les us et coutumes d’un peuple, que de vérité. Des milliards de personnes ont été toute leur vie strictement végétarienne (refus des chairs animales c’est-à-dire viande, poisson, œufs, mais pas les laitages) notamment en Inde. Elles ont été en excellente santé, il n’y a qu’à se renseigner sur le sujet. Même de grands sportifs olympiques ont été végétariens. Les fameuses protéines indispensables se trouvent aussi dans les laitages et les légumineuses en quantité largement suffisante.
Les personnes habituées à manger de la viande du poisson ou des œufs se plaignent généralement lorsqu’au repas, il n’y a rien de tout ça en prétextant qu’elles ont l’impression de ne pas être nourries suffisamment, donc qu’il leur manque quelque chose. Elle ressente ce manque d’ADN animal qui effectivement n’est pas présent dans la nourriture végétarienne et c’est vrai que ce manque met un certain temps à disparaître. C’est un peu comme une drogue, comme le chocolat aussi par exemple que notre médecine prétend pourtant être bénéfique, tout comme le café aussi parfois. Il est alors nécessaire d’un petit effort pour arriver à surmonter cette sensation de manque. Une bonne diététique permettra de surmonter cette sensation très facilement, surtout si on sait éviter divers poisons qui abaissent la vibration de l’alimentation et font que même avec une grosse quantité de nourriture à midi, on a encore faim le soir après avoir été épuisé à digérer toute la journée. En mangeant végétarien et avec une bonne diététique, on se sentira en fait plus léger tout en étant correctement rassasié. Le repas du soir pourra alors être très léger, ainsi on dormira bien, on aura faim le matin et c’est à midi qu’on mangera le plus copieusement pour ne presque pas manger le soir.
Le non-végétarisme n’est pas indépendant de notre manque de vision globale, voire même d’un manque de spiritualité. C’est un peu comme d’autres choix pris par notre civilisation comme celui de dévitaliser des dents par exemple, sujet que ce site traite bien sûr plus que d’autres. Pour résumer de façon très concrète ce que j’entends ici par vision globale voire d’un manque de spiritualité, je dirai que c’est tenir compte des conséquences de ses pensées, ses paroles et ses actes dans le temps et l’espace, afin qu’ils aboutissent à plus d’harmonie dans l’univers, et pas uniquement à court terme et autour de notre petite personne. Pour générer de l’harmonie durablement, il est pour cela nécessaire de respecter des lois que les enseignements spirituels nous enseignent. Une des lois est que la vie engendre la vie et que la mort ne doit pas rester au milieu des vivants, car elle engendre alors la maladie. Les morts devaient être emmenés à l’Hadès nous dit la Bible et donc ne pas rester au milieu des vivants. Et donc par analogie, j’en déduis que les dents mortes ou dévitalisées ne devraient pas rester dans les organismes vivants. Lorsqu’une dent est dévitalisée, le bienfait procuré par cet acte existe certes en comparaison avec la souffrance de la dent vivante cariée dont la carie a atteint le nerf. Mais dans le futur, les souffrances occasionnées seront bien plus terribles que si on avait enlevé la dent plutôt que de la dévitaliser. Il n’y a qu’à visionner la centaine de témoignages vidéo pour s’en rendre un peu compte. Ce sont ces conséquences terribles dans le temps (le futur) et dans l’espace (ici, sur d’autres organes du corps) qui confirment que dévitaliser des dents contrarie une loi. Une loi que les dentistes transgressent en séparant le nerf (la pulpe dentaire en fait) de la structure dure de la dent. Pour information, séparer se dit diabolein en grec ancien et est à l’origine du mot diable. Mais pour s’intéresser à tout ça, encore faut-il s’intéresser à la théologie et donc croire en Dieu et non pas en la théorie darwinienne de l’évolution qui remplacerait la théorie d’un dieu créateur. La théorie darwinienne n’est en rien scientifique bien que ce soit effectivement des scientifiques qui l’aient élaboré jadis, mais à une époque où nos connaissances scientifiques ne permettaient pas de la discréditer.
Aujourd’hui, trop d’éléments scientifiques viennent infirmer la théorie darwinienne car on sait maintenant que la biologie génétique possède des mécanismes tendant à maintenir fixes les différentes espèces. Il existe par exemple des enzymes qui sont chargés de réparer l’ADN qui aurait muté et des cellules qui sont chargés de détruire les cellules qui auraient trop muté. Dans la biologie, tout s’oppose en effet aux mutations des organismes complexes (les eucaryotes) et les seules mutations que provoquent les rayons ionisants ou d’autres éléments extérieurs sont destructives ou délétères. On n’a jamais observé une quelconque mutation qui permette de fabriquer le moindre organe nouveau par le hasard. Et cela même s’il est vrai que certains organismes simples constitués d’une seule cellule, les procaryotes (les bactéries par exemple) peuvent subir des mutations pour s’adapter à un environnement hostile (un antibiotique par exemple). Mais cela n’explique en rien la théorie de l’évolution, notamment l’apparition de nouveaux organismes. Un grand mathématicien français a même calculé la probabilité pour que la théorie de l’évolution puisse expliquer l’apparition de la vie sur Terre et il a conclu que la probabilité que cette théorie soit vraie était quasiment nulle. C’est ce qu’a publié, il y a quelques années en France, feu le prof. Schutzenberger, prof. De Math. au collège de France. Dire que la théorie darwinienne est scientifique est donc vraiment de la mauvaise foi aujourd’hui puisque toutes les découvertes scientifiques modernes de la biologie sont en contradiction avec cette théorie.
Mais en France par exemple, on a mis au collège de France, des biologistes, grands défenseurs de la théorie de l’évolution et qui ont fait leur renommée en défendant cette théorie. Il est très difficile de reconnaître que toute leur vie ils ont défendu une théorie que les découvertes scientifiques modernes contredisent de plus en plus et qui est mathématiquement impossible. C’est comme tout, si les dentistes avec leurs dents dévitalisées auront bien du mal à admettre les conséquences terribles de cet acte, certains scientifiques aussi ont parfois du mal à reconnaître des erreurs qui les arrangent bien. Lorsque la théorie de l’évolution est apparue, elle arrangeait bien les premiers scientifiques qui avaient là, enfin une alternative à des dogmes religieux soutenus, et c’était là le problème, par des religieux qui ont longtemps opprimé la science et les scientifiques.
Mais le problème est que la théorie de l’évolution darwinienne voudrait nous faire croire que l’homme n’est qu’un animal comme un autre ou un peu plus évolué éventuellement, issu du hasard et d’une sélection naturelle imprégnée de violence et donc qu’il est normal qu’il tue pour se nourrir. En tenant compte de la théorie darwinienne, il est difficile de comprendre l’intérêt du végétarisme, et à la limite, ce serait même anti-naturel. Mais en tenant compte de l’existence du concept de Dieu créateur et paternel ou maternel, c’est comme on veut, les choses pourraient être vues différemment. Toutes les religions qui sont sensées transmettre des enseignements divins ont aussi appris aux hommes qu’ils étaient sur Terre, pour aimer et non pas pour tuer. Et tuer un animal pour s’en nourrir, ce n’est pas aimer que je sache. Il n’y a qu’à voir une fois dans sa vie un animal se faire abattre pour ressentir comme une évidence que tuer un animal ce n’est pas de l’amour mais de la cruauté. On comprend ensuite facilement que de se nourrir de cet animal ensuite revient d’une certaine façon à se rendre complice de cet acte cruel.
Quand on mange des fruits et des légumes, il n’y a par contre rien de cruel à l’évidence. On ne les tue pas, même si c’est vrai que les cellules végétales réagissent électriquement au fait d’être coupées et même à la simple pensée qu’on puisse les couper, des études l’ont montré. Mais cela ne signifie pas que ce soit de la souffrance. Quand on voit un fruit ou légume être cueilli, on ne ressent bien sûr pas cette sensation de cruauté que le meurtre d’un animal génère. Un enfant cueillera naturellement un fruit pour le manger mais il ne lui viendrait pas à l’idée d’égorger un agneau pour le manger. S’il fallait aller tuer soi même son animal avant de le manger, c’est sûr qu’il y aurait bien plus de végétariens. Il faut donc éviter de se nourrir de chairs animales même si dans certains cas exceptionnels cela peut nous nourrir, car c’est alors mieux que de mourir de faim. Les animaux ont aussi leur rôle à jouer dans la grande comédie de la vie. Si les forêts étaient pleines d’animaux, il n’y aurait quasiment plus de feux de forêt par exemple car les animaux se nourrissent des buissons qui alimentent les feux de forêts. Et les forêts sont les générateurs d’oxygène de notre planète. Les animaux ont une autre fonction que de servir de nourriture aux humains, on le voit bien dans cet exemple mais il existe nombre d’autres exemples. On connaît généralement le rôle essentiel des abeilles pollinisatrice et productrices de miel, excellent pour la santé notamment pour sucrer les infusions de plantes médicinales qui n’en seront alors que plus efficaces selon l’ayurvéda. Les abeilles qui sont d’ailleurs de plus en plus malades, probablement de la présence de pesticides (eh oui on a aussi opté pour l’agriculture de poisons). Mais comme jusqu’à présent, les abeilles ne se mangent pas, ce serait hors sujet d’en parler ici dans un texte sur le végétarisme. Par contre et par exemple, la présence d’herbivores en forêt permet aussi incroyable que cela puisse paraître, de préserver la présence de plantes médicinales. Dans ma région par exemple, les Alpes Maritimes, des amis cueilleurs de lavande l’observent nettement depuis que leur copain berger parti en retraite et ses moutons (prévus pour être ensuite mangés soit dit en passant) ont disparu. Les animaux n’aiment pas manger les plantes médicinales, généralement riches en composés volatils (qu’on retrouve dans les huiles essentielles) alors qu’ils mangent des graminées (l’herbe). Ces graminées qui rentrent en compétition de territoire avec les plantes médicinales aux composés volatils thérapeutiques repoussants pour les animaux, et qui donc les font en partie disparaître lorsque les animaux ne les mangent plus. Certaines plantes médicinales nécessitent bizarrement aussi des animaux pour enterrer leurs graines dans le sol. Bref c’est comme si l’homme pour se soigner par la nature grâce à sa diversité en plantes médicinales et préserver ses forêts source d’oxygène, avait besoin que des animaux peuplent les forêts. Le problème de la disparition des forêts étant très préoccupant dans certaines régions du monde comme l’Afrique où le désert a terriblement augmenté ces dernières décennies, chez des peuplades d’ailleurs très carnivores comme par hasard. Pour les plantes médicinales, le problème est d’autant plus d’actualité qu’on observe une demande croissante dans le monde occidentalisé, de plantes médicinales. Partout dans le monde, sauf en France toutefois où on ne jure encore que par nos bons vieux médicaments chimiques remboursés par la sécurité sociale, puisqu’on a déjà la meilleure médecine du monde, c’est bien connu… C’est un peu comme le vote écologique, il augmente partout ailleurs en Europe, sauf en France. Cette demande croissante en plantes médicinale confirme qu’il existe aujourd’hui en occident, de plus en plus de prise de conscience que les plantes médicinales doivent constituer une voie thérapeutique à laquelle il serait temps de s’intéresser à nouveau alors qu’au milieu du vingtième siècle, on a abandonné leur utilisation pour la chimie médicale aux effets secondaires redoutables. Mais bon, cette demande croissante indique aussi d’une certaine façon, qu’il y a de plus en plus de malades, même s’ils sont de plus en plus conscients qu’il faut se soigner par les plantes médicinales. C’est bien sûr parce qu’ils ont de plus en plus de dents dévitalisées, dont par contre ils ne sont pas conscient de la toxicité. Vous vous doutiez bien sûr que ce serait mon explication …Et donc, si en plus on s’y intéressait, on irait encore plus vite pour reprendre le chemin de la santé dans notre monde occidental. Mais bon pour rester dans le végétarisme, on voit donc ici simplement en quoi le fait de tuer des animaux faisant qu’il n’y en a plus suffisamment dans nos forêts, a des conséquences sur notre santé, à travers les plantes médicinales. Selon les enseignements religieux, l’homme n’est pas juste un animal mais un être spirituel, et cela contrairement aux animaux qui s’entretuent naturellement pour se nourrir. Mais même les animaux carnivores pourraient devenir aussi végétariens. Je connais aussi des histoires de chats et de chiens végétariens qui se portaient très bien et même d’un lion végétarien. Des animaux devenus ensuite doux comme des agneaux. Mais c’est vrai que manger de la viande est naturel pour ces animaux, et aussi pour certains singes, à priori frugivores, qui ressemblent beaucoup aux humains. Des singes qui parfois se nourrissent d’autres animaux et même d’autres espèces de singes. C’est ce qui fait dire à certains que l’homme ayant une dentition à peu près semblable à celle du singe, est fait pour se nourrir de viande ou qu’il doit aussi par exemple ne manger que cru. Ce qui est étonnant toutefois est que l’homme vit bien plus vieux que les singes même ceux qui vivent totalement dans leur milieu naturel, le plus pur possible. L’humain possède donc à l’évidence, quelque chose de différent au moins sur ce plan là, c’est à dire celui de la longévité. L’humain a probablement un métabolisme bien plus subtil que celui des animaux et comme preuve, il vit bien plus longtemps que les animaux de corpulence équivalente. Et cela surtout s’il connaît les lois de l’alchimie alimentaire dont la cuisson et les épices sont deux composantes essentielles. Et cela même si je reconnais que dans certains cas, manger exclusivement cru peut avoir un intérêt pour la santé. Certains de mes patients ont réussi à gérer leurs douleurs malgré leurs dents dévitalisées, en se nourrissant exclusivement de cru. Mais ils n’avaient pas beaucoup de graisse non plus. Lorsqu’on a dans la bouche des dents dévitalisées, le fait de manger cru permet de diminuer nombre de douleurs, je l’ai parfois constaté. Cela pourrait plus ou moins s’expliquer par les lois de la médecine chinoise mais ce n’est pas le propos et cela ne signifie pas qu’il faille non plus manger toujours cru pour faire de vieux os. Je dis cela car en Ayurvéda, on sait que c’est la graisse qui nourrit les os et donc que lorsqu’on manque de graisse, ce qui arrive lorsqu’on mange cru trop longtemps, on se déminéralise aussi et donc on fragilise son système osseux. Le mieux est de se débarrasser de ses foyers infectieux puis ensuite de remanger cuit, tout en mangeant des crudités au début du repas. Et puis il y a cuisson et cuisson et certaines cuissons sont à l’évidence toxiques, mais ce n’est pas le propos ici. Dans les védas, les écrits religieux indiens, il est demandé de consacrer la nourriture et de l’offrir au divin avant de la consommer. En gros c’est la prière avant le repas des judéo chrétiens. Mais il est aussi écrit dans les védas, d’une certaine façon, que Dieu n’accepte pas qu’on lui offre les viandes, les poissons et les œufs et donc qu’il n’acceptera pas de les consacrer, c’est-à-dire d’élever leur vibration afin de nous aider à réaliser plus vite le but de notre existence. But qui ne peut s’ateindre que par amour selon tous les enseignements spirituels et pour lequel mère nature aide de toutes ses forces. Il semble logique qu’il faille éviter d’exercer de la cruauté sur la nature, c’est-à-dire de tuer les animaux, pour atteindre un but d’amour. Cela parait antinomique. On pourrait même penser que ce qui a été obtenu par la cruauté, génère en retour de la cruauté. J’ai d’ailleurs déjà eu des témoignages dans ce sens. Des personnes qui consommaient assez rarement de la viande se sont aperçues qu’après en avoir consommé, elles étaient bien plus agressives. Les religions extrêmes orientales nous enseignent la loi du karma. Dans la loi du karma, il est dit, que celui qui crée de la souffrance ou la cautionne, en recevra en retour. Le sens du karma n’est pas un souci de punition mais d’éducation. Et pour permettre cette prise de conscience, et donc bien se rendre compte qu’on est dans l’erreur, il existe la souffrance et son assistant la douleur. J’ai observé que toutes les douleurs du corps sont augmentées lorsqu’on se nourrit de chairs animales et surtout si on a des dents dévitalisées. Et oui ! Comme tout est bien fait n’est-ce pas. A la fin du texte vous aurez un aperçu de la souffrance que notre civilisation inflige au peuple animal et donc on peut imaginer ce que cela implique au niveau karmique. Mais avant d’en arriver là, je vais vous parler des conséquences biochimiques de la consommation de chairs animales. Le catabolisme des chairs animales produit un excès d’ammoniaque que le catabolisme des protéines végétales ne semble pas produire. L’ammoniaque est un poison qui brûle nos cellules. Les reins transforment l’ammoniaque (NH4) en urée (NH2-NH2), donnant ainsi la couleur jaune soutenue à l’urine. L’urée est aussi bien moins toxique que l’ammoniaque et cela évite de brûler le canal urinaire. Il peut même avoir certaines vertus thérapeutiques, c’est tout le domaine d’amaroli en Ayurvéda. En usage externe l’urée à de multiples intérêt aussi. Lorsqu’on est végétarien, l’urine est plus claire, car elle a moins d’urée. C’est très net et pas besoin de faire toute une batterie d’examens pour s’en rendre compte. Faites l’expérience, devenez végétarien une semaine ou deux et vous le constaterez facilement. Mais en attendant d’être transformé en urée, l’ammoniaque brûle les cellules de l’organisme. On observe que les crânes des végétariens sont plus larges que ceux des mangeurs de viande, probablement car le mouvement de respiration crânienne que connaissent bien les ostéopathes est de moindre amplitude à cause de l’intoxication du liquide céphalorachidien par l’ammoniaque. En tant que dentiste, la première conséquence que je vois à ces crânes moins larges est que l’arcade dentaire sous la dépendance de la largeur du crâne est moins longue. Et donc, lorsque vient le temps de la sortie des dents de sagesse, ces dernières n’ont plus la place de s’y mettre et causent alors par leur manque de place nombres de désagréments. A l’université on enseigne que c’est la logique de l’évolution darwinienne de l’homme si les dents de sagesse n’ont plus la place de se positionner, et d’ailleurs que c’est la même raison pour les problèmes orthodontiques en général. Mais comme par hasard, l’augmentation nette des problèmes orthodontiques a commencé en France dans les années soixante dix soit environ une génération après qu’ait commencé la grande vague de dévitalisation dentaire en France à la suite du remboursement de couronnes dentaires (sur dents dévitalisées) dans le début des années cinquante. Comme je l’ai expliqué dans d’autres textes les dents dévitalisées des parents empoisonnent leurs os maxillaires et cette intoxication se transmet génétiquement à leurs enfants qui auront alors des problèmes de place pour leurs dents qui seront alors de travers (problèmes orthodontiques). Pour en revenir aux dents de sagesse, il vaut alors mieux les enlever que de les laisser même si idéalement j’en conviens, il aurait fallu conserver ses dents de sagesse. Mais encore aurait-il fallu être végétarien pendant sa croissance. On voit donc déjà ici que la loi du karma s’applique aux mangeurs de viande, ou de poisson ou d’œuf avec le problème des dents de sagesse puisque leur manque de place cause nombre de problèmes de santé, je l’ai souvent constaté comme d’autres dentistes holistiques et médecins qui s’intéressent aux rapports entre les dents et la santé. Avant d’être transformé en urée, l’ammoniaque issue du catabolisme des chairs animales, détruit tout d’abord la fonction rénale qui se charge de ce travail et qui est la fonction la plus fragile de l’organisme. La fonction rénale est en effet physiologiquement la première à s’arrêter avant la mort. C’est en tout cas ce qu’enseigne l’acupuncture, la médecine des chinois, qui paradoxalement aujourd’hui se nourrissent de chairs animales et ne sont pas en si mauvaise santé que cela, il faut bien l’avouer. Mais lorsqu’on y regarde de plus près, ils sont en moins bonne santé et vivent moins vieux que les végétariens indiens. Mais ils sont, c’est sûr, en meilleure santé, que ceux qui mangent en même temps des chairs animales et des laitages. Certains se sont d’ailleurs aperçus que ceux qui mangeaient ainsi, viande et laitages, se portaient mieux en arrêtant les laitages. De là ils édictèrent que « le lait de vache c’est que pour les veaux » en apprentis juristes des lois de l’univers. Apprentis juristes tout comme le sont aussi ceux qui prétendent, études de groupe sanguins à l’appui, mêlée à une autre théorie issue de la théorie darwinienne, que les groupes sanguins « O » doivent aussi manger de la viande pour mieux se porter. Et que d’autres doivent éviter les laitages…. Il y a aussi ceux qui prétendent que l’humain doit aussi manger cru comme les autres animaux puisqu’il en est un, selon la théorie de l’évolution. Il est vrai que dans certains cas la mise en application de ces théories fausses peut avoir momentanément un effet bénéfique, mais ce n’est nullement parce que la théorie est juste mais pour d’autres raisons. Le lait et les laitages sont considérés comme très bienfaisants pour la santé dans la religion indienne. Selon cette religion, le Dieu suprême Krishna vit d’ailleurs sur la planète des vaches et est parfois représenté enfant se délectant de laitages. La vache est d’ailleurs sacrée en Inde pour cela entre autre et certains yogis ne se nourrissent que de lait et sont en excellente santé. Mais il y a laits et laits (c’est un peu comme cuisson et cuisson) et aussi le bon moment pour les consommer (éviter yaourt et fromage le soir). Certains laits, notamment le lait U.H.T. et le lait en poudre qu’on donne aux bébés sont plutôt laids que lait. Si on arrêtait aussi de sélectionner les vaches malades aux mamelles énormes, empoisonnées aux antibiotiques, produisant quantité de lait de faible qualité, notre lait serait aussi biologiquement moins laid. Et puis en fonction des animaux, le lait n’a pas la même saveur selon la médecine chinoise. Le lait de vache a une saveur sucrée qui peut ne pas convenir à certains tandis que le lait de chèvre par exemple, de saveur amère (et donc aussi le fromage de chèvre) leur conviendra mieux, d’autant plus que leur fonction estomac pancréas est un peu malade. Je rappelle que les chinois mangeurs de chairs animales en relative bonne santé par rapport à nous, ne consomment pas de laitages mais du soja, toujours fermenté ou sous forme de tofu. Ils ne boivent pas de lait de soja, à ma connaissance en tout cas. Et en plus ils consomment du soja en relative faible quantité par rapport à certains occidentaux qui se fournissent en magasin d’alimentation biologique et rejettent par dogme tout produit d’origine animale donc même les laitages frais (yaourt, et fromage frais notamment). Le soja possède trop de précurseurs d’hormones sexuelles et il accélère donc l’âge de la puberté et donc le vieillissement, tout comme le font tous les médicaments allopathiques d’ailleurs. Il n’est pas conseillé d’en consommer selon l’Ayurvéda (la médecine traditionnelle indienne) qui recommande plutôt les différentes espèces de dahls (lentilles corail notamment) comme légumineuses. Manger en même temps, et des chairs animales et des laitages n’est donc pas ce qui se fait de mieux pour conserver la santé. Eh oui il faut choisir son camp. Celui des mangeurs de chairs animales ou celui des végétariens mangeurs de laitages. C’est ainsi, car « tu ne mangeras pas le veau dans le lait de sa mère » avait rappelé Dieu aux hébreux qui sachant qu’ils étaient encore nomades, ne leur avait pas interdit de consommer de la viande, en précisant de tuer sans faire souffrir l’animal grâce à une lame bien affûtée et en laissant couler son sang. Et cela en évitant toutefois certaines viandes plus toxiques comme le porc par exemple qui peut se nourrir d’excréments. C’est le sens de la viande cacher ou hallal. Pour les poissons, les juifs ne peuvent pas consommer de poissons sans écailles comme les raies et les requins car ces animaux ne possèdent pas de système rénal et leur chair est donc trop imprégnée d’ammoniaque toxique. Quand aux mammifères marins sans écailles, comme les dauphins, ce sont des espèces bien trop évoluées pour servir de nourriture. Mais si Dieu a semble-t-il permis aux hébreux, aux chrétiens et aux musulmans de manger jadis de la viande et du poisson, parce qu’à cette époque et dans leurs conditions de vie de l’époque, cela était pratique, cela ne signifie pas qu’à notre époque, il faille encore le faire. Les temps ont changé et aujourd’hui voici venu le temps de l’île aux enfants, euh non, je veux dire plutôt le temps pour l’humanité d’effectuer un saut d’évolution qui nécessite aujourd’hui plus que jamais de s’éloigner de la vibration de cruauté pour se rapprocher de celle de l’amour. Et donc de s’abstenir de consommer des chairs animales, ce qui nous imprègne probablement d’une vibration de cruauté, car pour tuer un animal il faut quand même une certaine dose de cruauté. Si la vie engendre la vie, l’amour engendre l’amour c’est bien connu, la mort engendre la mort, on le voit avec les dents dévitalisées, la cruauté pourrait bien aussi engendrer la cruauté. Les peuples les plus mangeurs de viandes sont aussi connus pour être les plus cruels. Les chinois très mangeurs de chairs animales (ils mangent tout ce qui bouge) sont réputés pour être assez cruels. Leurs connaissances en anatomie, ont été par exemple acquises en dépeçant vivant des condamnés à mort, et leurs copains japonais très mangeurs de poissons ne se sont pas vraiment distingués dans le passé pour leur caractéristiques de non violence. La non violence et Gandhi, c’est plutôt indien et végétarien, que je sache. J’ai beaucoup parlé de viande mais pour le poisson, le terme cruel est aussi adapté à l’évidence quand on le voit s’étouffer une fois sorti hors de l’eau par le pêcheur. Voici par exemple une conséquence fâcheuse de la consommation de poisson au niveau de la planète. Des observations montrent ces dernières années, une importante augmentation de la quantité de méduses dans toutes les mers du monde. Après étude on s’aperçoit en fait que les méduses se développent d’autant plus qu’il n’y a peu de poissons dans la mer. Pour être plus précis, on s’aperçoit que le fait de pécher trop de poissons provoque un important développement de méduses. La planète est un grand espace d’épanouissement pour l’être humain afin qu’il y trouve le bonheur et la nature est le cadeau de la planète pour le plaisir de l’être humain. Qu’il est agréable de profiter de la neige l’hiver par exemple de piqueniquer dans les forêts mais aussi de profiter des plaisirs de la mer l’été et notamment de la baignade. Mais lorsque la mer est pleine de méduses, c’est une autre histoire, car qui s’y frotte s’y pique. D’un point de vue mystique, j’ai l’impression que lorsque la mer produit des méduses, c’est comme si la mer se vengeait des pêcheurs qui lui apportent la mort et la souffrance. La mer empêche alors les humains de bénéficier des plaisirs de la baignade puisque les méduses leur apportent alors de la souffrance par leurs piqures. Tomber dans l’eau au milieu d’un ban de méduses peut même être mortel. Parmi les différents types de méduses qui se développent aujourd’hui dans le monde, il en existe un type particulièrement destructeur pour les filets des pêcheurs. C’est un type de méduse géante que l’on ne rencontre que dans les eaux japonaises. Et comme par hasard, ce sont aussi surtout les japonais qui pêchent des dauphins pour s’en nourrir. Les dauphins qui sont des mammifères et non des poissons, possèdent une intelligence très surprenante et font preuve de beaucoup de sensibilité et d’affection pour l’espèce humaine. Il existe d’ailleurs plusieurs histoires de dauphins ayant secouru des naufragés. Pêcher des dauphins est donc encore plus un sacrilège pour la vie que de pêcher des poissons. On voit donc ici en quoi le fait de se nourrir de poissons donc de cautionner un acte de violence vis-à-vis de la vie marine, provoque en retour de la part de la vie marine une réaction de violence par le développement de méduses urticantes voire mortelles. Eh oui, tout à une cause et aussi un sens, dans une vision mystique de l’existence. Et à chaque fois que de la souffrance est produite, c’est pour que l’humain qui est censé être la conscience de la création réfléchisse un peu à cela et comprenne ses erreurs. La pire des erreurs étant de croire que tout ce qui arrive n’est que le fruit d’un hasard qui n’a aucun sens (ce que pensent généralement les athées) et qu’il faut soigner la souffrance en s’opposant à la vie elle-même. C’est tout à fait ce qui est fait d’ailleurs dans l’allopathie et notamment dans le cas de la dent dévitalisée. Cela n’aboutit alors qu’à encore plus de souffrance et à la mort prématurée. Dans le cas des méduses, c’est ce qui se produirait si on tentait de détruire les méduses en déversant par exemple des produits chimiques dans la mer. On tuerait certes des méduses dans un premier temps et cela paraitrait être une bonne idée en apparence mais les conséquences sur le reste de la vie seraient dramatiques à long terme. C’est tout à fait comme de tuer des dents pour les garder plus longtemps en bouche. En apparence cela semble une bonne idée mais les conséquences sur la santé sont dramatiques à long terme. J’ai un peu approfondi le thème des méduses à la fin du texte si cela vous intéresse.
De parler de cruauté m’oblige à vous donner une précision pour les œufs. Pour les œufs, on a en général plus de mal à comprendre car ma foi, ils sortent d’une poule, un peu comme le lait sortirait de la vache et les manger ne provoque aucune souffrance en apparence. Et s’ils ne sont pas fécondés, en manger n’enlève aucune vie animale. La différence entre le lait, et, l’œuf et les chairs animales, est que le lait ne comporte aucune cellule animale. C’est un liquide organique sans cellules donc sans ADN animal, tandis que viande, poisson et aussi œuf possèdent des cellules animales qui comportent donc de l’ADN animal. L’ADN avec sa double hélice, me fait penser à un solénoïde, comme un émetteur récepteur aussi, susceptible par conséquent de recevoir des ondes et d’en envoyer, donc d’interagir avec notre propre ADN. C’est probablement là que le problème se situe, car effectivement, à priori, manger des œufs non fécondés ne fait de mal à aucun animal mais nous imprègne de vibration animale dont il est probable qu’il faille s’extirper pour pouvoir élever nos vibrations. Voilà pourquoi entre autre, j’imagine qu’il faut aussi s’abstenir de manger des œufs, comme les grands maîtres indiens le conseillent d’ailleurs. Nombre de nouveaux enseignements spirituels aussi, je pense au courant new age et aux channelings nous demandent de nous abstenir de consommer des chairs animales aujourd’hui. Ils semblent donc en cela en contradiction avec les enseignements de jadis des grandes religions musulmanes et judéo chrétienne. A ceux qui croient uniquement à ces enseignements de jadis, qui autorisaient la consommation de chairs animales et qui pensent qu’hormi ces enseignements auxquels ils croient, qui ont été écrits jadis, point de vérité, je répondrai : « Croyez vous vraiment que Dieu puisse rester des dizaines ou des centaines, voire des milliers d’années sans réactualiser ses enseignements, à ses enfants dans un monde en perpétuelle mutation. Vous le voyez alors comme un parent absent aujourd’hui lors de l’adolescence de ses enfants. Un parent qui ne se serait contenté que de suivre les premiers pas de ses enfants, il y a des milliers d’années. Arrêteriez-vous, vous même de faire bénéficier de votre expérience et donc de donner des conseils à vos enfants, parvenus à l’âge de l’adolescence. Bien sûr que non. Alors pourquoi pensez-vous que Dieu ferait de la sorte alors que vous pensez qu’il nous aime au moins autant que nous pouvons aimer nos enfants. Ce serait vraiment incohérent, n’est-ce pas ? » Tiens au fait, j’ai dernièrement croisé l’auteur (dont je me porte d’ailleurs personnellement garant sur la sincérité) d’un ouvrage qui traite d’un de ses derniers enseignements (de Dieu, mais si, mais si … ) et que je vous suggère vivement de vous procurer. Il s’agit du livre : « Souffles divins ».
Mais il en existe d’autres, à vous de les découvrir, la plupart du temps dans des librairies dites ésotériques. Mais revenons à nos moutons ou plutôt à l’éventualité d’en manger ou pas, c’est-à-dire à l’opportunité du végétarisme ou du viandisme. Le viandisme, terme utilisé jadis par feu Marcheseau, le père de la naturopathie française qui vaut bien que j’ouvre ici pour lui une petite parenthèse. Marcheseau fut un éminent naturopathe qui prônait le végétarisme et qui avait même ouvert une école de naturopathie à Paris qui fonctionnait encore il y a une vingtaine d’années et qui y associait aussi un enseignement spirituel qui s’appelait la Table d’Emeraude. Comme quoi quand on s’intéresse à la santé par la nature et le naturel, en général, on s’intéresse aussi à la spiritualité c’est-à-dire au sens de la vie en relation avec une intelligence suprême céleste. Mais cette école de naturopathie n’a pas résisté, aux attaques de la médecine moderne qui en France détruit systématiquement toute concurrence avec la complicité d’une législation qui en facilite la chose, surtout lorsque cette concurrence explique que notre médecine moderne et ses médicaments chimiques empoisonnent peut-être plus qu’on ne le pense et serait même la première cause de maladies graves et de handicaps aujourd’hui. Si aujourd’hui notre civilisation a autant de malades et d’handicapés, c’est aussi parce que des îlots de lumière comme cette école de naturopathie, ont disparu jadis du territoire français. Marcheseau et son école ont eu jadis quelques problèmes avec le corps médical car il a dit des vérités qu’il vaut mieux éviter de dire, j’en sais quelques chose à mes dépends. Si Marcheseau reconnaissait que notre médecine moderne sauvait nombre de vies, notamment dans les urgences médicales, il expliquait par exemple aussi que les médecins faisaient à la fin de leurs études le serment d’Hippocrate dans lequel ils juraient « Primum Non Nocere » c’est-à-dire « premièrement ne pas nuire » puis s’empressaient ensuite tout au long de leur carrière de le parjurer en utilisant une médecine des poisons. C’est ce qui faisait dire de façon humoristique à certains, que leur serment était plus d’hypocrite que d’Hippocrate. Affirmation qui conviendrait encore plus aux dentistes du conseil de l’Ordre qui m’ont condamné pour avoir proposé à mes patients d’enlever leurs dents dévitalisées alors que cela permettait de leur redonner la santé. Cette action injuste est en plus, anticonstitutionnellement (c’est le mot le plus long de la langue française, le saviez vous ?) parlant illégale puisque la constitution française a attribué au Conseil de l’Ordre, des dentistes aussi, un rôle de protection de la santé publique. Je referme ici même la parenthèse qui m’a permis de parler de ce que j’estime être le plus grand français du siècle dernier, car c’est celui qui s’est le plus attaqué au plus grand problème que les français connaissent aujourd’hui, c’est-à-dire la santé, tout en utilisant aussi le plus grand mot de la langue française par la même occasion, car qui se ressemble s’assemble, c’est bien connu. Mais revenons pour la deuxième fois à nos moutons, sans nous endormir toutefois même si je vous oblige ici à les compter puisque nous y revenons déjà pour la deuxième fois et que compter les moutons ça endort, c’est bien connu (un peu d’humour ça détend, ne trouvez-vous pas). Voici un autre argument pour le végétarisme. Aujourd’hui quand l’occident consomme de la viande, il affame les pays en voie de développement, comme je vais vous le démontrer. Cela est d’autant plus vrai que nous sommes dans un monde où une certaine partie de l’humanité souffre encore de la faim. Manger de la viande est donc, ne serait-ce qu’en cela, pour le moins anti-spirituel puisque cela contribue à accroître la faim dans le monde. Si un jour vous connaissiez la faim, vous prendriez vraiment conscience de l’importance de ces paroles. Si vous continuez à manger viande ou poisson, il est probable que l’univers vous en fera bientôt prendre conscience, selon certaines informations dont je dispose et dont je ne révèlerai pas les sources…. Comme je le disais, la consommation de chairs animales affame la planète. En effet, la production d’une calorie de chair animale coûte environ sept fois plus d’énergie pour être produite, qu’une calorie végétale. Dans des pays pauvres, où certains ne le sont pas et possèdent toutes les terres, on préfère produire des tourteaux de soja et d’autres céréales (oui je sais, le soja n’est pas une céréale mais une légumineuse mais les éleveurs ne font pas la différence semble-t-il) pour nourrir du bétail occidental que de nourrir son peuple. Et cela d’autant plus que l’alimentation du bétail est payée rubis sur l’ongle en devises occidentales, ce qui est bien plus rentable que de nourrir des crèves la faim, bien évidemment, surtout quand on croit que la vie est le fruit de la sélection naturelle comme le cautionnent nombre de scientifiques occidentaux. Mais si l’occident n’achetait pas de tourteaux de soja pour nourrir son bétail prévu à l’abattoir, ces terres des pays en voie de développement serviraient à nourrir leurs peuples, faute de mieux, ne serait-ce qu’en terme de rentabilité financière. Je rappelle que la surface cultivable sur notre planète n’est pas infinie, d’autant plus que les cultures pour les biocarburants prennent de plus en plus de place. Il existe certains luxes qui ma foi ne font pas de mal aux autres mais le luxe de se nourrir de viande revient à être complice d’affamer des peuples entiers. Encore si on arrivait à nourrir notre bétail avec notre production locale, ma foi, on ne prendrait pas le pain de la bouche des autres peuples. Mais ce n’est malheureusement pas le cas. En France pays producteur pourtant important de produits agricoles, car très favorisé au niveau géographique, 80% des céréales utilisées pour nourrir notre bétail proviennent pourtant d’importation. Le prix des céréales est tellement élevé actuellement sur le marché mondial que à Haïti, on vend des galettes de terre séchée. J’ai bien dit, de terre séchée, que des gens mangent pour se remplir l’estomac, vue que les galettes de céréales sont trop chères. Il semble que ça les cale un peu. Evidemment avec ce régime, ils meurent probablement assez vite, d’occlusion intestinale, ou de malnutrition car l’humain n’est pas fait à ma connaissance pour se nourrir de terre. Mais cela doit leur sembler moins terrible que de mourir de faim, semble-t-il. Tout cela est terrible je trouve et il est important que vous en preniez conscience. Que vous preniez conscience qu’en mangeant votre viande, d’une certaine façon, vous êtes complice même passivement, d’une situation terrible où des humains sont contraints de manger de la terre séchée car les céréales qui pourraient les nourrir sont utilisées pour nourrir du bétail qui va être cruellement tué pour finir dans votre assiette. On comprend ici pourquoi la consommation, du moins excessive de viande en occident, contribue à affamer les pays en voie de développement dont d’ailleurs les dictateurs se protègent avec les armes occidentales qu’on leur vend. Il faut bien protéger ceux qui nous garantissent leur coopération ou au moins nous autorisent à piller leur sous sol et à nous en servir de poubelle pour nos déchets. Parfois on utilise même nos gentils militaires pour les protéger des méchants rebelles qui voudraient déstabiliser tout cela. Parfois en prime les grands labos pharmaceutiques peuvent même essayer de nouveaux médicaments de la médecine des poisons et de nouveaux vaccins sur eux et leurs enfants, surtout s’ils sont orphelins, et leur vendre aussi évidemment ceux qui sont déjà commercialisés, en faisant payer la facture aux gentils contribuables occidentaux qui payent pour tout ça… Eh oui c’est souvent ça l’aide au développement et au maintien de la paix en Afrique notamment…. Ne soyez pas dupe aussi sur cela… Mais je m’éloigne et ce n’est pas le sujet. En conclusion de cette démonstration, on peut donc dire que manger de la viande n’est donc pas spirituel, puisque cela contribue à affamer nos frères humains. c.q.f.d. (ce qu’il fallait démontrer) comme aurait dit mon prof de mathématique.
Mais pour finir je vous rappellerai la loi du karma des extrêmes orientaux, car pour l’univers aussi et pas seulement pour le code pénal « nul n’est sensé ignorer la loi ». La loi du karma est la loi de cause à effet, qui est que tout effet possède une cause et que toute cause produit un effet, mais aussi que celui qui fait souffrir souffrira. Je vous laisse donc méditer avec cette dernière pensée sur le texte qui suit que vous pouvez aussi trouver plus illustré donc mieux d’ailleurs à l’adresse suivante :
http://www.terresacree.org/moinsdeviande.htm
Un texte que je mets ici aussi au cas où ce site Internet venait un jour à disparaître du web. Toute à la fin vous trouverez aussi un autre texte qui apporte des arguments plus mathématiques encore à l’intérêt du végétarisme pour notre planète. Fin du texte écrit par le DR Bruno Darmon
Manger de la viande est un acte cruel
Chaque année, dans l’ensemble du monde, 45 milliards d’animaux sont tués pour nourrir les hommes. En France p.ex., il s’agit de 771 961 000 gallinacés, 25 852 827 porcs, 78 483 000 dindes et canards, 5 708 544 ovins, 843 276 caprins et 36 645 équidés, soit un total de 928 996 923 animaux*.. Les animaux accusent : “Si nous devons endurer tant de souffrances, c’est parce que 90% des hommes mangent de la viande« Dans la chambre de torture des poules : « Notre brève existence de poules pondeuses se passe dans des hangars clos, sans fenêtres, tassées dans des cages empilées parfois sur 8 niveaux et dans lesquelles 22 poules se partagent 1m2. L’odeur y est insoutenable. Après 1 an à 1an½ passés dans nos cellules, nous ne sommes plus rentables à vos yeux et c’est pourquoi nous prenons alors le chemin de vos marmites. Pourtant, environ 1/5 d’entre nous ne parvient même pas jusque-là. Elles ne survivent pas à ce traitement et meurent du stress subi, d’infections ou de maladies osseuses, etc… » Dans la prison des veaux : « Notre vie durant, nous sommes enfermés entre 2 cloisons, dans un espace d’1m2 où nous pouvons à peine bouger jusqu’à notre assassinat que vous nommez abattage. Il faut bien que ceux qui nous élèvent rentabilisent leur exploitation ! Le lait maternel dont nous sommes privés est remplacé par un liquide blanchâtre et gras composé de poudre de lait maigre, de suif, de graisse de baleine et de beaucoup de sel. Ce breuvage affreusement salé nous donne constamment soif, mais comme nous ne recevons rien d’autre, nous buvons toujours plus de ce liquide salé. Nous engraissons ainsi très vite pour atteindre le poids idéal à notre abattage. Pendant notre brève existence, jamais il ne nous est donné l’occasion de voir l’herbe verte des prés. C’est seulement sur le chemin qui nous conduit à la mort que nous pouvons apercevoir le soleil pour la 1ère fois…. Dans les ghettos des porcs : « Nous, les porcs, nous sommes enfermés dans l’obscurité par groupes de 80 à 200. Le sol sur lequel nous reposons est grillagé, sans paille, ce qui nous procure des douleurs intolérables au niveau des articulations. Nous ne sommes pas considérés comme des êtres qui souffrent, mais traités comme de la marchandise : Pour renouveler et rentabiliser au mieux la marchandise-viande, les truies sont inséminées artificiellement. Ensuite, elles végètent pendant 3 mois ½ dans un réduit, sans lumière. Pour mettre bas, on les sangle dans des enclos prévus à cet effet. Elles peuvent à peine bouger, uniquement se lever et se coucher, de sorte qu’elles sont quasiment dans l’impossibilité de s’occuper de leurs petits ». Dans les cellules de la mort des dindes : « Nous, les dindes élevées de façon industrielle, notre souffrance est plus grande encore que celle de nos frères les poulets. Afin que nous devenions d’appétissantes volailles bien dodues, on nous fait subir un engraissement intensif de telle sorte que nos os peinent de plus en plus à supporter notre corps devenu trop lourd. Nos pattes s’atrophient et se déforment sous le poids de la chair. Après 6 mois d’un tel traitement, nous ne pouvons plus nous tenir debout et nous nous affaissons constamment sur nos pattes. Sans ménagement, c’est-à-dire sans anesthésie on nous coupe le bec comme on le fait aussi aux poules et aux canards. Cette mutilation provoque douleurs et irritations incessantes. Imaginez que l’on vous coupe les lèvres, à vous les hommes. » Vous mangez nos bébés : « Vous, les hommes, vous vous considérez comme le « sommet de la création » et pourtant vous n’arrêtez pas de nous considérer, nous les animaux, comme de simples produits de consommation. Vous vous repaissez de la chair de nouveaux-nés ! Regardons les faits : beaucoup d’animaux pourraient vivre jusqu’à l’âge de 20 ou même 40 ans, si l’homme ne mettait pas prématurément fin à leurs jours de manière ô combien brutale. Tout consommateur de viande devrait s’en souvenir au moment où il pique sa fourchette dans son assiette. Ce qui s’y trouve et qu’il s’apprête à porter à sa bouche, c’est bien souvent la chair d’un bébé. » « Nous, les poules, par exemple, notre durée de vie naturelle est normalement de 20 ans mais vous ne nous laissez vivre que 5 à 6 semaines et tout au plus 1 an et demi, si vous nous destinez à être des poules pondeuses. Les poussins mâles, considérés comme des sous-produits inutiles et indésirables, ne vivent eux que quelques instants, avant d’être jetés vivants dans le hachoir à viande. » « Nous, les cochons, nous pourrions vivre jusqu’à 20 ans, mais comme vous voulez notre chair, vous mettez brutalement fin à notre vie, bien que nous n’ayons que 5 mois ! » « Nous, les vaches, nous avons une longue vie qui dure normalement jusqu’à 30 ans. Certaines d’entre nous réussissent même à atteindre les 60 ans. Cependant, vous les amateurs de chair tendre, la plupart du temps vous nous abattez alors que nous ne sommes encore que de petits veaux, des bébés âgés de 3 à 5 mois. Une vache laitière, elle, comme bonne productrice de lait a le droit de vivre 5 ans mais un taureau n’a pas cette chance. Il ne peut vivre que 18 à 20 mois. » Fin ____________________________________________________________
Dernier Texte De : Tony Wardle qui apporte des arguments plus mathématiques encore à l’intérêt du végétarisme pour notre planète. dimanche 19 août 2007
Dévorez la terre Nourriture et terres gaspillées.
L’environnement est un manteau finement tissé qui est en train de se défaire sous nos yeux, et la consommation de viande en porte une lourde responsabilité. Nous n’avons pas le besoin physique de manger de la viande et pourtant le monde contient 3 fois plus d’animaux de rente que d’êtres humains. Le bétail exige énormément d’herbe, de maïs et de blé, au point que 80% des terres agricoles en Grande-Bretagne sont utilisées pour la production de viande. En Suisse, ce chiffre est estimé à 67%. Il faut 10 kg de protéines végétales pour produire 1 kg de viande. C’est le programme de recyclage le plus gaspilleur que l’on ait inventé! Si exigeant en ressources que le sol est exploité au delà de ses capacités, par l’utilisation massive de pesticides et d’engrais. Les pesticides sont des poisons pour tuer des mauvaises herbes, des insectes et des champignons. Ils peuvent aussi tuer des humains. Nous savons qu’ils détruisent des espèces autres que celles qu’ils sont censés combattre. Ils menacent l’écosystème. Nous savons que la concentration de ces produits augmente quand les plus grandes créatures mangent les plus petites. Un oiseau d’eau comme le grèbe qui est au sommet de la chaîne alimentaire concentre dans son corps des pesticides jusqu’à 80′000 fois plus que ceux contenus dans l’eau où il vit. _ On sait que 50 produits chimiques utilisés en agriculture sont soupçonnés de provoquer des cancers. La viande contient en moyenne 14 fois plus de résidus toxiques que les végétaux. Il y a des traces de pesticides dans presque tous les aliments que nous consommons. Nous savons que s’il ne fallait pas nourrir les animaux de rente, les agriculteurs pourraient alors revenir à la rotation des cultures, pratiquer la culture biologique et cesser d’utiliser des produits chimiques. L’exploitation constante de la terre pour produire plus de céréales pour nourrir plus d’animaux n’est pas durable. La production peut être dopée seulement momentanément en aspergeant les champs de fertilisants azotés. Une partie de l’azote se répand dans les rivières. Elle entraîne une prolifération d’algues et de bactéries et y détruit toutes les autres formes de vie. Une autre partie de l’azote contamine les nappes phréatiques. Mais si nous arrêtons de manger de la viande, toute la population de la terre pourrait être nourrie uniquement avec 30% des cultures actuelles, sans devoir utiliser d’engrais chimiques. Les terres pourraient à nouveau respirer, se régénérer et se refaire une santé. LES FAITS 1 : 38% des céréales mondiales sont destinées au bétail. En moyenne pour produire 1 kg de viande il faut 10 kg de céréales ; le reste finit en déjections. Il faut 2 fois plus de surface cultivable pour nourrir un mangeur de viande qu’un végétarien et 4 fois plus qu’un végétalien. La Grande-Bretagne à elle seule pourrait nourrir 250 millions de personnes par une alimentation végétale. La Suisse pourrait en nourrir 30 millions ! Si tous les habitants de la planète mangeaient comme les Américains, seule la moitié des terriens pourraient être nourris.
Déforestation
La forêt tropicale est époustouflante de complexité. Elle abrite la moitié des espèces animales et végétales du monde. Elle fournit de nombreux médicaments : les anesthésiants, les médicaments anti-cancer, la pilule contraceptive. Elle nourrit le sol, absorbe la pluie, produit de l’oxygène et absorbe le gaz carbonique. Elle est l’équilibre de la nature. Et notre réponse à nous : c’est de la détruire. Avant 1950, 14% des terres mondiales étaient des forêts tropicales. Depuis, la moitié en a été détruite et, chaque année, c’est une superficie égale à la Grande-Bretagne qui disparaît. Et pourquoi ? En grande partie pour en faire des pâturages pour le bétail ou pour cultiver du soja, dont la plupart des récoltes sont exportées vers les pays industrialisés. Après 7 années d’exploitation, ces terres sont quasi désertiques. LES FAITS 2 : Les forêts tropicales abritent jusqu’à 90% de toutes les espèces terrestres. La forêt tropicale est détruite au rythme de 164′000 km2 par an. Au Costa Rica, 71% de toutes les surfaces déforestées sont des pâturages. Le Népal a perdu la moitié de sa forêt en 20 ans à cause de l’élevage. Même les pâturages fraîchement déforestés ne peuvent nourrir qu’une tête de bétail par hectare. En 1991, l’Amérique latine a exporté 8 millions de tonnes de soja, destiné surtout à nourrir du bétail. Le réchauffement de la planète. En 1989 une équipe d’astronautes a observé un nuage de fumée provenant de milliers de feux répartis sur un million de m2 en Amazonie. C’était la forêt tropicale en train d’être détruite pour l’élevage. En brûlant de telles surfaces, des quantités énormes de gaz carbonique sont libérées dans l’atmosphère, formant une couche isolante qui empêche la chaleur de s’échapper. Chaque bovin dégage 60 litres de méthane par jour aggravant encore le réchauffement planétaire. Les incendies et les ruminations des bovins constituent ensemble la 2ème cause de l’effet de serre. LES FAITS 3 : Depuis 1970, la destruction des forêts tropicales en Amérique latine a contribué au rejet de 1,4 milliards de tonnes de dioxyde de carbone dans l’atmosphère. Le méthane est responsable de 18% de l’effet de serre, dont le taux dans l’atmosphère augmente de 1% par an. 18% des émissions de méthane sont dues à l’élevage. Il y a en permanence 1,3 milliards de bovins dans le monde. 26% des émissions de méthane en Grande-Bretagne proviennent des bovins. En Grande-Bretagne, chaque année, il y a des émissions de 1,15 millions de tonnes de méthane provenant du bétail qui augmentent le réchauffement de la planète. Epuisement des sols Premiers consommateurs au monde de viande, les Etats-Unis ont perdu le tiers de leurs terres cultivables. Dans les Etats de l’Ouest, d’énormes étendues ne supportent plus l’agriculture intensive et la terre se désertifie. Les réserves d’eau des nappes phréatiques se vident plus vite qu’elles ne sont alimentées par la pluie. Le sol appauvri ne peut même plus être utilisé pour des pâturages, car il aurait besoin de plus d’eau qu’une nouvelle terre. Le besoin en eau du bétail est tout aussi destructeur que ses besoins en nourriture. La production de bovins exige 12 fois plus d’eau que celle des légumes. En Grande-Bretagne près de la moitié des terres arables sont menacées d’érosion car l’élevage intensif détruit la structure même du sol. Pluies acides Le monde a un nouveau problème : l’interminable accumulation des excréments d’animaux. Les lisiers sont 100 fois plus polluants que les déjections humaines. Ils s’empilent et leurs masses ne peuvent plus être résorbées. Les bactéries transforment l’ammonium en acide qui s’évapore ensuite. Combiné avec les oxydes de nitrates issus des engrais, ainsi qu’avec la pollution industrielle, il cause l’acidité des pluies. Les sols sont rendus improductifs et les forêts, rivières et lacs se meurent. Presque oubliées parmi l’avalanche des autres désastres écologiques, les pluies acides sont en train de ruiner les biotopes du nord de l’Europe et de l’Amérique. Dans certains pays, ces déjections en sont la principale cause. La fin de l’élevage du bétail ralentirait considérablement le désastre. LES FAITS 4 : Une seule vache produit 23 tonnes de déjections par an. 10 porcs produisent 21 tonnes de lisier par an. Epandues sur les terres, ces déjections contribuent aux pluies acides et à la pollution des sols et des eaux. L’ammonium issu des fabriques d’animaux est reconnu comme étant une cause majeure des pluies acides, avec plus de 70% d’acidité dans certaines régions. En Hollande où le nombre de bovins est supérieur à celui des humains à raison de 7 pour 1, les éleveurs ont été priés de réduire leur cheptel d’un quart pour sauver les forêts à l’agonie. La souffrance des mers Les chalutiers sillonnent les océans du monde capturant un nombre croissant de poissons toujours plus petits, saccageant tout sur leur passage. Hélas, chaque année, des pays de plus en plus nombreux rejoignent les zones de tueries où les thons sont capturés par des filets dérivants. Dans ces filets, ce sont des baleines, des dauphins, des oiseaux marins, des tortues et des requins qui sont tués. Certains pays continuent le massacre des baleines, ces mammifères au langage plus complexe que le nôtre et dont nous ne comprenons pas un mot. Des élevages intensifs de poissons ont été installés dans les mers d’Europe. Le saumon, ce mystérieux migrateur, en est la première victime. C’est comme si on enfermait des hirondelles. Entassés dans des cages, ils ne survivent que par de fortes doses d’antibiotiques et de pesticides. Leur couleur commercialement attractive est due à l’ajout d’additifs, pourtant interdits aux Etats-Unis. Et pour nourrir ces créatures captives, d’autres poissons sont pêchés industriellement. Pour produire 1kg de viande de saumon il faut 5 kg de poisson. Le PCB est l’un des produits chimiques industriels les plus toxiques. On sait qu’il contamine presque toute la chaîne alimentaire marine. LES FAITS 5 : Neuf des 17 principales pêcheries mondiales sont en sérieux déclin. Les autres ont atteint leurs limites. Au niveau mondial, 124 milliards de dollars sont dépensés chaque année pour rattraper seulement 70 milliards de dollars en valeur de poissons. Des études récentes montrent que plus de 40% des poissons pêchés en mer du Nord sont malades, souvent atteints de tumeurs cancéreuses. On estime qu’environ 240′000 tonnes de PCB (substance interdite en Grande-Bretagne depuis 1980, interdite en Suisse également) ont pollué les océans. Les saumons, ces animaux essentiellement migrateurs, sont confinés dans des élevages intensifs, avec une densité de 15 kg par m2. Santé et bien être Supposons que nous soyons les plus intelligents des êtres capables de sentiments complexes. Que faisons-nous ? Nous emprisonnons d’autres êtres intelligents, les isolant dans des cages exiguës jusqu’à la folie. Nous leur dénions leurs instincts les plus élémentaires. Nous traitons leurs petits comme des choses. Et puis nous les mangeons. Les poulets sont entassés dans des cages si petites qu’ils ne peuvent même pas déployer leurs ailes. Ils sont engraissés à grande vitesse dans des halles lugubres et sont handicapés par leur surpoids. Tous endurent la même mise à mort, dans une chaîne automatique. Puis nous les mangeons. On nous dit que la douleur et la souffrance sont des concepts relatifs. Mais dans la course à la production de viande la moins chère possible, il y a un prix à payer qui nous concerne. Ce sont les infections qui en découlent: les entérites à campylobacters, les salmonelles, la maladie de la vache folle. On nous dit que la viande est nécessaire pour vivre, ignorant les maladies cardiaques, les cancers du côlon et autres pathologies liées à la consommation de viande. Le profit n’a pas de conscience, seulement un bilan ! En son nom les animaux et les humains sont là pour être exploités. LES FAITS 6 : Les maladies cardiaques sont la principale cause de décès dans les pays industrialisés. Des études montrent que les végétariens ont 30% moins de maladies cardio-vasculaires que les carnivores. Le cancer provoque un quart des décès prématurés en Grande-Bretagne. Aussi en Suisse. Au moins 1/3 des décès sont dus à l’alimentation. Les risques diminuent sensiblement grâce à une alimentation végétale. La recherche montre que l’incidence du cancer du côlon, du sein, de la prostate et autres cancers est inférieure chez les végétariens. On estime que 2 millions de personnes souffrent d’intoxications alimentaires chaque année en Grande-Bretagne. Presque toutes sont dues à la viande et aux produits laitiers. Durant les 2 dernières secondes de notre évolution décrite ci-avant, nous avons détruit et empoisonné la terre à un rythme jamais atteint dans son histoire. La croissance et la consommation en sont la cause. Et maintenant on nous dit que c’est encore plus de croissance et encore plus de consommation qui vont résoudre ces problèmes. Est-ce que nous sommes plus riches, plus heureux, plus nobles avec la mort et la destruction que nous propageons? Nous léguons à nos enfants un monde qui contient moins de merveilles que nous en avons hérité. Nous avons empoisonné l’eau, pollué l’air et épuisé la plupart des sols. Nous leur transmettons un monde qui court à la catastrophe. Les gouvernements ne font rien. Mais vous pouvez faire quelque chose. Fin Voilà donc de quoi vous inciter à devenir végétarien, je pense. Cela fait de nombreuses années que je le suis et je ne m’en porte que mieux. C’est vrai que j’ai aussi fait enlever toutes mes dents dévitalisées…. Dr Bruno Darmon
complément sur les méduses. Les méduses sont des organismes assez étranges et comme tout ce qui est étrange, c’est aussi instructif (c’est un peu comme tout ce que je raconte sur mon site) alors je vais un peu développer le sujet et vous allez voir qu’aussi incroyable que cela paraisse, il y a un lien avec les dents dévitalisées, à travers le fait de prôner le végétarisme sans poisson. Je dis sans poisson parce que nombreux sont ceux qui pensent qu’être végétarien, c’est ne pas manger de viande mais que dixit les médecins, le poisson c’est très bon pour la santé. Les méduses sont actuellement en train d’envahir les océans qui se transforment au 21 ième siècle en océans de méduses alors que jadis c’était des océans de poissons. Au niveau nutritif, les méduses n’ont rien d’extraordinaire et il n’y a que les chinois pour les manger mais ils mangent tout ce qui bougent ces chinois donc même les méduses par conséquent. On peut extraire par contre du bon collagène des méduses ce qui peut intéresser les laboratoires de cosmétique. Les méduses sont présentes dans absolument toutes les mers du globe, les chaudes comme les froides. Elles peuvent envahir très rapidement une mer grâce à un système de reproduction très particulier. Elles passent par un stade de polype qui peut se reproduire seul sans passer par le stade de méduse en bourgeonnant ensuite des dizaines voire des centaines de zéfirules qui deviendront ensuite autant de méduses. Un cas unique dans le règne animal. Il existe une méduse terrible qui est l’animal le plus venimeux qui existe sur la planète et elle tue plus que les requins, en Australie notamment. C’est la méduse chironex. Grace à un système sophistiqué qui ressemble à un système à harpons multiples avec une seringue à l’intérieur, elle injecte à la vitesse de l’éclair son poison violent directement dans le sang de ceux qui passent à proximité de ses tentacules de deux à trois mètres de long. La seule parade que les Australiens aient trouvé est de se baigner à l’intérieur de filets qui partent d’un côté à l’autre de la plage. Mais en fait cela ne résout pas le problème des méduses totalement car ils se sont aperçus qu’une très petite méduse arrivait à passer à travers les mailles des filets qu’on ne peut pas plus réduire qu’ils ne le sont et qui s’appelle la méduse irucandji. Une méduse qui ne tue pas mais qui rend les personnes piquées fatiguées à vie. Lorsqu’on est piqué par cette méduse, on ressent une petite piqure et des symptômes terribles apparaissent au bout d’une demi-heure. Les chercheurs cherchent à produire des sérums pour s’immuniser contre ce genre d’animal mais ils sont loin d’avoir gagné la partie. Des sommes considérables sont dépensées pour essayer de se prémunir de ces bestioles mais ils n’ont rien trouvé de plus efficace que les filets qui laissent de toutes façons passer les petites irucandljis, si ce n’est que la disparition des poissons favorise le développement des méduses en général. Le meilleur traitement de la mer pour la soigner de ces proliférations de méduses serait donc à l’évidence d’arrêter d’y pécher du poisson, et donc d’arrêter d’en manger ou bien de manger du poisson d’élevage à la limite. Je vais maintenant vous raconter une expérience personnelle assez instructive que j’ai eu avec les méduses. Je suis actuellement végétarien mais je ne l’ai pas toujours été ayant jadis écouté les médecins qui conseillaient de manger de la viande et du poisson qui étaient soi disant bons pour la santé. Pendant cette période de non végétarisme, il m’arriva un jour de me baigner dans la mer et de me faire piquer par une méduse. J’ai gardé les traces de la brulure sur ma jambe pendant des mois. L’année dernière (été 2008) la Côte d’azur où je vis fut envahit de méduses et une certaine imprudence a fait que je me suis encore fait piquer par des méduses. J’ai ressenti une brulure identique à celle que j’avais ressentie des années auparavant. Il se trouve que j’étais à la plage avec une personne qui de part son emploi était souvent amenée à voir des personnes venant lui demander des conseils pour des brulures de méduses. Elle était donc amenée à voir les brulures que les personnes lui montraient et qu’elles avaient eu un jour ou deux auparavant. Lorsque je me fis piquer par la méduse, les brulures furent tout à fait semblables à celles qu’elle voyait fréquemment. Je m’étais donc bien fait piquer par l’espèce de méduse classique de cette année là. Mais à la grande surprise de cette personne, si ce n’est la brulure que je ressentis au moment de la piqure, je ne ressentais ensuite aucune douleur au niveau des brulures, et en plus les marques de brulures disparurent très rapidement. Le lendemain il n’y avait quasiment plus rien au grand étonnement de cette personne et cela sans que j’ai fait quoique ce soit. Evidement, scientifiquement parlant, mon seul cas ne peut faire une règle mais je crois pourtant que si le venin des méduses m’a fait si peu de mal c’est que je ne mangeais pas de poisson depuis très longtemps même si j’ignore totalement le mécanisme qui a permis cela. En tout cas , voilà encore un argument au végétarisme. La méduse est une espèce intéressante par d’autres aspects aussi. Des scientifiques ont observé qu’une méduse du nom de Toritopsis a une particularité qu’on ne retrouve nulle part dans le règne animal. Elle peut inverser le processus de vieillissement. Tous les organismes et même la plupart des méduses vivent , vieillissent et meurent. Certaines méduses vivent une année, d’autres une trentaine d’année mais comme toutes les espèces animales elles naissent vieillissent et meurent. Eh bien pas la Toritopsis qui est éternelle. Lorsqu’elle manque de nourriture elle se pose au fond de l’océan et semble mourir. Mais il n’en est rien car elle se retransforme en polype qui est normalement le stade précédent le stade de méduse. C’est un peu comme si le papillon se retransformait en ver. On n’a jamais vu ça. Alors des scientifiques ont analysé les gènes qui permettaient un tel rajeunissement et oh surprise ils ont trouvé des gènes qui existent aussi dans les chromosomes humains mais qui ne sont pas fonctionnels chez les humains. Des gènes en attente de quelque chose pour s’exprimer probablement. On pourrait très bien qualifier en quelque sorte ces gènes, de gènes de la vie éternelle. La science en train de rejoindre les écrits religieux qui parlent de vie éternelle si tant est qu’on sache comment mettre en fonction ces fameux gènes. Etonnant, non, des enseignements religieux presque confirmés en étudiant les méduses pour essayer de les comprendre pour mieux les détruire. On a aussi été étonné en étudiant les hydres, des animaux marins qui sont de la même famille que les méduses mais restent toujours au stade de polype. Lorsqu’on coupe une hydre, elle se reconstitue en entier. Si on la coupe en petit bout, un seul petit bout suffit à faire se reconstituer l’hydre en entier. Là encore, j’imagine que les scientifiques s’apercevront un jour que nous avons aussi ces gènes. Evidemment si on comprenait le mécanisme génétique qui fonctionne ici et qu’on arrivait à le reproduire chez nous, plus besoin de mettre des dentiers car on ferait repousser les dents, mais aussi des bras et des jambes évidemment. Encore une fois on comprend que la vie même si elle parait violente dans certaines de ses expressions à travers certaines espèces, recèle en fait des trésors cachés que notre science ferait mieux de chercher à découvrir plutôt que de chercher à détruire les dites espèces. J’ai même l’intuition qu’avec les piqures de méduses on pourrait guérir bien des choses, pourquoi pas puisque cela se fait déjà avec les piqures d’abeilles et même de scorpions. Je l’ai déjà constaté sur un patient. Mais quel rapport il y a-t-il avec la dent dévitalisée. L’énorme développement des méduses dans les mers et les océans rentrent comme dans tout dans une logique qui trouve une explication dans les enseignements religieux notamment les védas (indiens) qui parlent de karma et de végétarisme. Certes l’homme est une créature qui plus que les animaux possède une étincelle divine que ne possède peut-être pas l’animal, mais si l’homme domine l’animal, il ne doit pas pour autant déroger au lois de non violence même avec les poissons car l’être humain comme toute la création est fait pour l’amour. Et tuer des poissons en les asphyxiant auparavant donc en les faisant souffrir n’est certainement pas ce que l’Univers avait prévu pour nous qui ne sommes pas fait pour tuer mais pour aimer. De même une dentisterie spirituelle n’est pas faite pour tuer des dents. Tuer n’est pas aimer, il semble encore nécessaire de le rappeler. Lorsqu’on se met en contradiction avec les lois spirituelle définies dans les écrits religieux, on doit en payer le prix qui se chiffre toujours en souffrance. La dent dévitalisée qui est une dent tuée par le dentiste en est un bon exemple tout comme le développement excessif des méduses consécutif à la tuerie de poisson que notre humanité fait subir aux océans. Alors bien sûr les évangiles nous disent que Jésus, le fils de Dieu, a un jour multiplié les pains et les poissons pour nourrir toute un rassemblement et même du vin pour les abreuver. Mais bon, de temps en temps, ça ne doit pas être trop grave mais il y a peut être une autre explication aussi. C’était probablement des poissons panés et lorsqu’on est pas nés, on ne peut pas mourir donc si cela s’avérait vrai, Jésus n’aurait tué aucun poisson (c’est de l’humour). Quant-à la boisson je suis sûr aussi que c’est une erreur de traduction. N’oublions pas que les premiers chrétiens étaient des juifs et des arabes vivant en Palestine. Lorsque Jésus leur a fabriqué leur boisson, un apôtre a trouvé cela tellement bon qu’imprégné qu’il était des enseignements de Jésus, il a sûrement du dire que « c’est divin ». Évidemment avec l’accent arabe, divin et du vin, ça peut être confondu et c’est probablement ce qu’a confondu le scribe qui a pris des notes et qui devait être arabe très probablement (c’est encore de l’humour évidemment….). Mais pour en revenir à la méduse, si je trouve cet animal intéressant c’est aussi peut-être à cause de ce grand tableau, « le radeau de la méduse », sur lequel tant de pauvres naufragés souffrent et cela me fait penser à tous ces pauvres malades avec leurs dents dévitalisées dont le sort n’est pas beaucoup plus enviable. Non mais qu’est-ce que je ne vais pas chercher, j’vous jure….